Entretien
Chapitres
Notice
Langues :
Français, Espagnol, castillan
Crédits
Nathalie MICHAUD (Réalisation), Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Production), SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Publication), Julie Amiot (Intervention), Luis Ospina (Intervention)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail et aux auteurs.
DOI : 10.60527/69jz-3969
Citer cette ressource :
Julie Amiot, Luis Ospina. UT2J. (2017, 23 mars). Tout commencerait par la fin ? La trajectoire cinématographique de Luis Ospina, en présence du réalisateur / Julie Amiot-Guillouet , in Cinéma, genre et politique. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/69jz-3969. (Consultée le 28 mars 2024)

Tout commencerait par la fin ? La trajectoire cinématographique de Luis Ospina, en présence du réalisateur / Julie Amiot-Guillouet

Réalisation : 23 mars 2017 - Mise en ligne : 1 juin 2017
  • document 1 document 2 document 3
  • niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif

Tout commencerait par la fin ? La trajectoire cinématographique de Luis Ospina, en présence du réalisateur / Julie Amiot-Guillouet, in Ve "Atelier Cinéma, genre et politique" organisé par le Centre d'Études Ibériques et Ibérico-Américaines (CEIIBA), le laboratoire FRAMESPA et le Département Art&Com de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail en partenariat avec l'Association Rencontres Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse (ARCALT), dans le cadre du 29e Festival Cinélatino, 23 mars 2017.
* Entretien traduit par Marion Gautreau (traduction consécutive).

Rencontre-entretien avec le réalisateur colombien Luis Ospina autour de autourde sa longue trajectoire cinématographique et notamment de son dernier film documentaire « Tout commence par la fin » (2016) dans lequel le réalisateur raconte l’histoire d'une bande d'amis passionnés de cinéma originaires de Cali, ville du sud-ouest de la Colombie ; une génération de réalisateurs, monteurs, comédiens qui a émergé au début des années 1970 et qui a profondément renouvelé la cinématographie colombienne.

Intervention
Thème
Documentation

Cinéma colombien. Caliwood (2017). Revue Cinémas d'Amérique latine, 25, 182 p.

PÉREZ LÓPEZ, Juan [1983] (2016). Un repaso a la historia del cine colombiano: “Caliwood”, Revista Diners, 7 septembre 2016. [En ligne : http://revistadiners.com.co/ocio/37115_repaso-la-historia-del-cine-colombiano-caliwood/].

DORADO ZUÑIGA, Antonio (2015). La gran ilusión. Panorama subjetivo del cine y el taller de audiovisuales en la Universidad del Valle, Nexus Comunicación, 18, Julio-Diciembre 2015, 328-349. [En ligne : http://revistaingenieria.univalle.edu.co/ojsunivalle/ojs/index.php/nexus/article/view/692].

LUNA, Maria (2013). Los viajes transnacionales del cine colombiano/Transnational Travel of Colombian Cinema. Archivos de la Filmoteca, 71, 69-82.

WOOD, David (2009). Popular Culture, Violence and Capital in 1980s Colombian Cinema, Revista de Estudios Colombianos, 33-34, 46-61. [En ligne : http://www.colombianistas.org/Portals/0/Revista/REC-33-34/7.REC_33-34_DavidWood.pdf].

GOMEZ, Felipe (2009). Short Film and Documentary Third Cinema in Colombia: the case of Luis Ospina, in Frieda Ekotto, Adeline Koh (eds), Rethinking Third Cinema: The Role of Anti-colonial Media and Aesthetics in Postmodernity, Münster, Lit Verlag, 53-80.

ROMERO REY, Sandro, RIGONI, Odile (1995). Luis Ospina: la vidéo comme forme de résurrection, Cinémas d'Amérique Latine, 3, 58-59.

TAPPS, André (1983). Entretien avec Luis Ospina, cinéaste colombien : en Colombie, les vampires ont une saveur politique, Ciné-Bulles, 2, vol. 4, septembre–octobre 1983, 5-7. [En ligne : http://www.erudit.org/en/journals/cb/1983-v4-n2-cb1136696/34788ac.pdf].

Dans la même collection

Avec les mêmes intervenants et intervenantes