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Nombre de programmes trouvés : 376
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(30m5s)
Michel Legrand et la musique de film (2/8) : Les années de formation
"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson ...
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(23m32s)
Michel Legrand et la musique de film (3/8) : Du jazz au cinéma
"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson ...
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(54m17s)
Michel Legrand et la musique de film (4/8) : le travail avec Jacques Demy
"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson ...
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(31m11s)
Michel Legrand et la musique de film (5/8) : La période américaine
"Jacques Demy, Louis Malle, Jean-Luc Godard et les autres... Ils voulaient tous changer le cinéma et travailler avec des gens nouveaux. La musique de jazz collait merveilleusement à leurs films. Privé d'un repère mélodique précis, le spectateur ne pouvait pas anticiper l'évolution de la musique : les personnages devenaient ainsi plus imprévisibles, plus mystérieux. Ils étaient nombreux à fréquenter les clubs de Saint-Germain. Je pense à Roger Vadim, qui fit appel à Thelonious Monk pour la musique de ses Liaisons dangereuses, ou à Marcel Carné, qui décrivit cette atmosphère dans Les Tricheurs, avec des musiques de Dizzy Gillespie, Oscar Peterson ...
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(58m20s)
Table ronde : Je me souviens de Federico Fellini
Rencontre avec Anouk Aimée, Claudia Cardinale, Magali Noël, Vittorio Boarini (directeur de la Fondation Fellini, Rimini), Serge July et Sam Stourdzé (commissaire de l'exposition "Fellini, la Grande Parade" au Jeu de Paume), animée par Serge Toubiana.
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(1h31m57s)
Cinéma stéréoscopique, une vision subjective. Une conférence de Lenny Lipton
Au début des années 1980, Lenny Lipton fondait la StereoGraphics Corporation. Il est considéré comme le père de la diffusion d'images vidéo en relief. La quarantaine de brevets de stéréoscopie dont il est le détenteur est au cœur de l'actuelle révolution 3D numérique.Intervention suivie d'un dialogue.
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(53m0s)
Dialogue avec Pedro Costa (1/3)
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel1ère partie : du Sang à Dans la chambre de Vanda"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes, mais sans faire de sacrifices. Que chaque mot est action, que le rêve que tu portes doit d'abord être dans les choses que tu choisis de filmer. (...) Straub, c'est cette attention permanente, la recherche de cette intensité phénoménale dans les films, cette énergie en tout, qu'on ne retrouve pas dans la vie." (Dans la chambre de Vanda - Conversation avec Pedro Costa, éditions Capricci, 2008)
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(34m30s)
Dialogue avec Pedro Costa (2/3)
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel2ème partie : de Vanda à Ventura (En avant jeunesse)"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes, mais sans faire de sacrifices. Que chaque mot est action, que le rêve que tu portes doit d'abord être dans les choses que tu choisis de filmer. (...) Straub, c'est cette attention permanente, la recherche de cette intensité phénoménale dans les films, cette énergie en tout, qu'on ne retrouve pas dans la vie." (Dans la chambre de Vanda - Conversation avec Pedro Costa, éditions Capricci, 2008)
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(10m18s)
Dialogue avec Pedro Costa (3/3)
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel3ème partie : filmer la présence humaine"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes, mais sans faire de sacrifices. Que chaque mot est action, que le rêve que tu portes doit d'abord être dans les choses que tu choisis de filmer. (...) Straub, c'est cette attention permanente, la recherche de cette intensité phénoménale dans les films, cette énergie en tout, qu'on ne retrouve pas dans la vie." (Dans la chambre de Vanda - Conversation avec Pedro Costa, éditions Capricci, 2008)
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(1h40m25s)
Ballhaus par Ballhaus : une leçon de cinéma
"Je travaille différemment avec chaque cinéaste. Scorsese, par exemple, pense avant tout aux images et un aspect essentiel de son méticuleux travail de préparation pour le tournage de ses films est de faire une liste détaillée des plans qu'il me remet. Cette liste exprime pour moi le rythme et la durée de respiration de chaque scène." (Extrait d'un entretien avec Michael Ballhaus)
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