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Nombre de programmes trouvés : 524
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(2m16s)
Urocentrum turbo, le cilié "toupie"
De petite taille (moins de 50 microns), ce cilié en forme de toupie ne cesse de tourner sur lui-même à vive allure. La symétrie radiaire apparente de ce cilié se prolonge par une expansion "caudale" (sorte de cirre ), sur laquelle il s'appuie comme une toupie sur sa pointe. Une vacuole pulsatile est également perceptible.
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(2m51s)
Tetrahymena pyriformis, le système modèle des ciliés
Largement utilisé comme système modèle des ciliés en physiologie et biochimie, Tetrahymena prolifère dans les eaux stagnantes, notamment en fin de saison dans les carapaces de crustacés. Fin octobre, les cladocères et autres ostracodes produisent leurs oeufs de résistance et meurent. C'est le moment que choisit Tetrahymena pour envahir les dépouilles et en nettoyer le contenu. De nombreuses inclusions digestives dans le cytoplasme, témoignent de la richesse alimentaire du milieu.
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(1h27m3s)
Les planètes extrasolaires : la découverte des nouveaux mondes (IAP)
Conférence de l'Institut d'Astrophysique de Paris présentée par Alain Lecavelier des Étangs (astrophysicien à l'IAP) le 8 janvier 2013. Découvertes depuis près d'une vingtaine d'années, on connait aujourd'hui plus de 800 planètes extrasolaires. Passée l'étape du dénombrement, les astronomes sont surpris par l'étonnante diversité de ces nouveaux mondes. Certaines des planètes connues sont déjà étudiées de manière très détaillée, en particulier grâce aux télescopes spatiaux comme le Télescope Spatial Hubble ou l'observatoire infrarouge Spitzer. Dans une configuration particulière, les planètes qui transitent devant leur étoile révèlent les secrets de leurs atmosphères. Et, les dernières découvertes ...
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(3m51s)
Gerris, une punaise qui marche sur les eaux
Cet hémiptère aquatique, appelé patineur ou punaise d'eau, flotte à la surface des mares grâce aux forces de tension superficielle qui s'exercent sur les tarses. Ainsi Gerris glisse à la surface de l'eau (d'où le terme de patineur). Un éclairage incident permet de mettre en évidence les dépressions causées à la surface de l'eau par le poids de l'animal. Chaque paire de pattes est spécialisée dans une fonction. la première est prédatrice, la seconde rameuse et la troisième sert de gouvernail. Sur le ralenti, la fonction rameuse de la seconde paire de patte sapparaît nettement.
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(1m54s)
Stentor, la ciliature
La grande taille de Stentor coeruleus favorise l'observation de ses bandelettes ciliées longitudinales depuis la région adorale sur tout le corps de l'animal.
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(2m48s)
Les daphnies et les oeufs d'hiver
Au cours de l'automne, les daphnies préparentleurs oeufs de résistance ou oeufs d'hiver. Les oeufs sont placés dans une poche incubatrice dorsale, maintenue par les deux valves de la carapace. Chez Ceriodaphnia, la poche incubatrice peut être volumineuse, et contenir une dizaine d'oeufs. Lors de la mue, les oeufs sont élliminés avec l'exuvie qui sédimente et hiverne au fond de la mare. L'exuvie qui abrite souvent des ciliés tels que Tétrahymena, se dégrade. Les oeufs d'hiver écloseront dès les premiers redoux. Chez Daphnia, les oeufs d'hiver, peu nombreux sont encapsulés dans une structure chitineuse dérivée de la poche incubatrice, l'éphipium. ...
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(2m35s)
Les daphnies, les embryons d'été
Pendant tout l'été, la plupart des daphnies se reproduisent en grand nombre par parthenogenèse. Les ovocytes croissent dans l'ovaire puis s'accumulent dans la poche incubatrice dorsale où ils se développent parthenogénétiquement. Après la période de clivage, la morphogenèse modèle le corps de l'embryon. Les premiers mouvements spontanés apparaissent alors que les embryons sont toujours dans la poche incubatrice.
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(2m16s)
Euglena ehrenbergii, dépourvu de flagelle
Cet euglenien de grande taille, dépourvu de flagelle, se déplace lentement par reptation un peu comme une amibe. La couleur verte intense est celle des chloroplastes qui remplissent la cellule, au milieu desquels on devine la présence du noyau, et celle de l'organe photosensible antérieur rouge.
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(2m10s)
Halteria, petit cilié aux mouvements capricieux
De 20 à 40 microns, ce petit cilié progresse par bonds désordonnés au milieu du feutrage végétal. Comme ici, on le rencontre par groupes de 10 à plusieurs dizaines d'individus. Oligotriche, c'est à dire peu recouvert de cils, Halteria possède en revanche des cirres équatoriaux et une couronne de membranelles adorales.
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(2m40s)
Stenostomum leucops, turbellarié d'eau douce
Ce petit ver plat ou plathelminthe d'eau stagnante possède un épiderme richement cilié locomoteurqui lui donne l'impression de glisser dans le feutrage végétal. la région antérieure porte deux fossettes sensorielles densément ciliées. Prédateur, Stenostomum capture les petits ciliés qui passent à sa portée. La proie est ensuite broyée dans le pharynx musculeux.
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