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Nombre de programmes trouvés : 976
Conférences
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(20m47s)
Hopper par Hopper : une leçon de cinéma (3/4)
Le 18 octobre 2008, Dennis Hopper donnait à la Cinémathèque française une leçon de cinéma à l'occasion de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" et de la rétrospective qui lui est consacrée.
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(28m34s)
Hopper par Hopper : une leçon de cinéma (4/4)
Le 18 octobre 2008, Dennis Hopper donnait à la Cinémathèque française une leçon de cinéma à l'occasion de l'exposition "Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood" et de la rétrospective qui lui est consacrée.
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(1h16m29s)
Easy Rider et les routes paradoxales du Nouvel Hollywood. Conférence de Jean-Baptiste Thoret
Réalisé en 1969, coup d'envoi d'un âge d'or du cinéma américain baptisé le Nouvel Hollywood, Easy Rider invente l'une des formes reines de la décennie à venir (le road movie), impose une représentation du hippie et de ses aspirations, et s'achève par une réplique énigmatique de Peter Fonda improvisée sur le tournage : « We blew it! » (« On a tout foutu en l'air ! »). Au cinéma, la révolution contre culturelle débute à peine mais l'un de ses initiateurs prophétise déjà son échec. Il s'agit donc de s'interroger sur les possibilités de cette mort annoncée (genèse, triomphe et ...
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(42m45s)
Comment le corps vient aux hommes : jeux de l'acteur américain. Conférence de Vincent Amiel
Après la génération de l'Actor's Studio, puis les folles embardées d'un Cassavetes, les acteurs américains des années 70 marquent-ils une approche nouvelle du jeu cinématographique ? Faut-il voir dans l'avènement d'un Nicholson, d'un de Niro, d'un Hackman une liberté nouvelle du corps, une autre façon d'occuper le monde, ou un retour à un certain classicisme dramatique ?
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(1h23m41s)
America at Large : grands espaces, peintures murales et recherche de l'utopie. (Matthieu Orléan)
Dans le cinéma américain des années 70, dont Easy Rider est un emblème, la reconquête physique de l'espace (territoires vierges ou frontaliers, en bordure des mégalopoles) s'accompagne d'une recherche spirituelle. Une recherche qui croise ou rencontre bien des expériences plastiques des artistes de la même époque (Ed Ruscha, Jasper Johns, Allan Kaprow, Roy Lichtenstein). Trois femmes de Robert Altman, réalisé en 1977, est un film hanté par cette question du territoire, et s'y mêlent, dans un débordement chromatique inédit, la folie (version schizophrénie), l'onirisme (version dédoublement), et la création artistique (version peinture murale at large).
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(18m55s)
Dialogue avec Juliette Binoche (2/3)
Le 5 décembre 2008, dans le cadre de la rétrospective qui lui était consacrée, Juliette Binoche dialoguait avec Serge Toubiana, directeur général de la Cinémathèque française. 2ème partie : questions/réponses avec le public.
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(19m41s)
Dialogue avec Juliette Binoche (3/3)
Le 5 décembre 2008, dans le cadre de la rétrospective qui lui était consacrée, Juliette Binoche dialoguait avec Serge Toubiana, directeur général de la Cinémathèque française.3ème partie : questions/réponses avec le public.
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(27m34s)
Dialogue avec Juliette Binoche (1/3)
Le 5 décembre 2008, dans le cadre de la rétrospective qui lui était consacrée, Juliette Binoche dialoguait avec Serge Toubiana, directeur général de la Cinémathèque française.1ère partie : dialogue avec Serge Toubiana.
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(1h35s)
Contre la contre-culture. Conférence de Jean-François Rauger
Il s'agira de mettre en évidence ce qui, dans le cinéma hollywoodien des années 1970, a pu critiquer l'esprit dit de la « contre-culture ». Car si celle-ci a simplement réaffirmé, par d'autres voies, une certaine tradition consolante et conformiste du cinéma américain, les films qui s'y sont opposé l'ont, plus subtilement et plus radicalement, marqué et transformé en profondeur. Il n'y a de mélancolie que dans la réaction.
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(53m10s)
D.D. : les débuts d'une piquante ingénue. Conférence de Dominique Païni
Mauvaise graine, La Crise est finie, Dédé, Mademoiselle Mozart, J'aime toutes les femmes... Autant dire Billy Wilder, Robert Siodmak, mais aussi René Guissart, Yvan Noé, Henri Decoin... Dans les premières années 30, la toute jeune Danielle Darrieux électrise un cinéma français chamboulé de ne plus être silencieux et prêt à quelques expériences. Un cinéma français ouvert aussi aux étrangers et en quête d'une nouvelle chair : une voix qui chanterait, un visage qui prendrait la lumière, un corps qui n'aurait pas peur de son ombre. Il sera bien temps après que vienne l'heure des mélodrames.
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