Alain Taillemite intègre en 1963 la Compagnie Nationale de Porcelaine au côté de son père, Roger Taillemite. Il fait ses armes en prenant en charge la réorganisation de l’atelier de décoration de l
Cet entretien est l’occasion pour Jacques Blondeau de retracer les débuts de sa vie professionnelle et surtout son engagement syndical et son évolution au sein de la CGT jusqu’au poste de secrétaire
Guy Gitteau fait ici le récit de son quotidien chez Case et de sa progression au sein de l'entreprise. Il aborde les conditions de travail, les relations entre salariés et supérieurs, les conflits
Cette partie d'entretien de Marcel Didailler est consacrée à un récit mémoriel sur les années d'apprentissage à Capdenac, puis entre Vierzon et Argenton-sur-Creuse sur la ligne du Paris-Orléans de la
Lors de cette rencontre, Jacqueline Svec, Françoise Simoes et leur amie Maria Da Silva se souviennent de leur quotidien de travail en tant qu'ouvrières en confection. Elles reviennent aussi sur l
Ils se souviennent des évolutions techniques et des innovations dans le secteur de la porcelaine puis reviennent sur leurs carrières respectives, le quotidien de travail dans les usines.
Dans cet entretien semi-directif, André Vergnolle fait le récit de sa trajectoire résidentielle, puis de sa formation professionnelle avant de revenir sur son arrivée à la SNCF et l'ambiance de
Il est question de sa formation, de la vie avant guerre, de ses débuts dans le monde du travail, sa découverte du secteur de la porcelaine ou encore de l'apprentissage des différentes étapes de
Daniel Caslin nous relate en particulier son apprentissage des différentes étapes de modelage et coulage dans le secteur de l'industrie de la porcelaine.
Cette seconde partie d'entretien est l'occasion pour Monsieur Tocqueville de revenir en détails sur les relations salariales dans l'entreprise Nadela (conflits, syndicalisme, relations aux femmes dans
Jean-Paul Tocqueville aborde dans cet entretien différentes thématiques, comme celle de l'enseignement et la transmission du savoir ou encore les sociabilités à Vierzon et au sein des usines. Il
Après avoir été employé comme garçon de ferme à l'âge de 11 ans, Junien Loustaud est recruté en 1945 à l'âge de 14 ans à la verrerie Thouvenin de Vierzon. Il y travaillera pendant 11 ans jusqu'à la