Comment et pourquoi devient-on spinoziste ? Le travail de traduction comme entreprise collective d'une grande ambition scientifique. L'influence des interprétations d'Alexandre Matron et de Martial
Edwin Curley explique ici comment ses doutes religieux, la découverte de l'influence de Spinoza dans la littérature et le fait de donner et de suivre des cours sur Spinoza l'ont progressivement
Lia Levy s'intéresse à l'histoire de la philosophie, notemment au rationalisme ferme de Spinoza. Elle a dirigé une thèse sur la notion de conscience chez Spinoza avec un spécilaliste de Descartes. Il
La cause amoureuse : Freud Spinoza Racine Dans cet entretien, Monique Schneider revient sur les enjeux de son ouvrage « La cause amoureuse, Freud, Spinoza, Racine » (Seuil,2008).Elle reprend et
Connaître le corps humain. Sur la continuité entre la philosophie de l’esprit et l’épistémologie chez Spinoza Résumé Dans cet article, je propose de comparer le concept de l’esprit de Spinoza avec
Vittorio Morfino explique pour commencer que c'est en partant de l'étude du rapport entre Marx et Spinoza qu'il en est venu au spinozisme. Il replace Spinoza dans la lignée de la tradition
Emanuela Scribano, traite dans cet entretien des questions qui lui semblent actuellement les plus importantes à traiter dans les études spinozistes. Elle souligne notamment l’importance de la théorie
Bien qu'habitué à mettre en lien l'histoire des sciences et l'histoire de la philosophie, la physique et la métaphysique, c'est sous l'angle religieux et politique que Daniel Garber a dû aborder
Spinoza et le débat religieux : Après avoir rappelé comment, à partir de l'étude de la religion naturelle au 17ème siècle, elle en est venue à la philosophie de Spinoza, Jacqueline Lagrée livre dans
La physique et la philosophie naturelle de Spinoza. Cet entretien traite du mouvement, de la matière et plus généralement de la nature chez Spinoza. Épaminondas Vamboulis s'intéresse à la question de
Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécurité Pierre-François Moreau fonde sa réflexion sur les deux traités de Spinoza : le traité théologico-politique (1670), qui se