Ciro Guerra, cinéaste colombien, a fait un film, "L'ombre de Bogotá" (La sombra del caminante), singulier et austère, qui relate une amitié entre deux hommes, l'un est un déplacé victime de la guerre
Cuerpos frágiles (Corps fragiles) : images et conflit armé en Colombie, en présence du réalisateur Óscar Campo / Amanda Rueda, in Ve "Atelier Cinéma, genre et politique" organisé par le Centre d
Jorge Semprun et le deuil de la République / Sylvain Dreyer. In séminaire "Image et mémoire / Imagen y memoria. 3. La reconstruction de la vérité par l'image : l'exhumation du passé" organisé par le
Avec A.I., Intelligence Artificielle, un séisme a ébranlé le cinéma de Spielberg. La douleur aiguë et les interrogations angoissées qui habitaient le film ne sont pas restées sans conséquence sur une
Le cinéma documentaire est né de la rencontre entre le désir des cinéastes d'explorer le monde et la passion des inventeurs d'enregistrer le réel :Entre Louis et Auguste Lumière, filmant le déjeuner
Entre 1949 et 1989, plusieurs cinéastes, actrices et acteurs français se sont rendus en RDA pour y tourner des films dans les studios de Potsdam-Babelsberg dont a hérité la DEFA, la société
Carlos César Arbeláez, cinéaste colombien qui a eu le prix de Cinéma en Construction [Rencontres Cinémas d'Amérique latine de Toulouse], présente son premier long métrage de fiction, Los colores de la
« La mémoire en chantant », à propos de Canciones para después de una guerra (1971, Basilio Martín Patiño) / Jean-Michel Mendiboure. In séminaire "Image et mémoire / Imagen y memoria. 3. La
C'est après-guerre que Danielle Darrieux entre dans la danse des films de Max Ophuls (La Ronde, Le Plaisir, Madame de...). Valse à trois temps où l'un et l'autre s'entendent à ravir et se
Julio Hernández Cordón, cinéaste qui a grandi au sud du Mexique, diplômé de l'université de Landivar au Guatemala, revient sur sa cinéphilie, sa formation, mais ne désire pas faire de film académique
« Babelsberg et quelques autres studios berlinois des années 10 aux débuts du parlant : une course entre technique et esthétique »Werner Sudendorf est directeur des collections de la Deutsche