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Français
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DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen (Réalisation), DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen (Production), DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen (Publication), Université Bordeaux Segalen - DCAM (Publication), David Douillet (Intervention), Baptiste Viaud (Intervention), Bertrand Thoribé (Intervention), Jean-Christophe Seznec (Intervention)
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Droit commun de la propriété intellectuelle
DOI : 10.60527/86nz-0n64
Citer cette ressource :
David Douillet, Baptiste Viaud, Bertrand Thoribé, Jean-Christophe Seznec. Univ Bordeaux. (2008, 6 juin). Sport Intensif : Douleur et performance , in Colloque PsychoPathologie du Sport - 2008. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/86nz-0n64. (Consultée le 20 septembre 2024)

Sport Intensif : Douleur et performance

Réalisation : 6 juin 2008 - Mise en ligne : 19 novembre 2008
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Descriptif

Sport intensif : Cultures de l’anormalité

2ème journées de Psychopathologie du sport

5 & 6 juin 2008 - CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2

* Le soin dans cet univers « hors normes ». Douleur et performance- Intervenants :

  • David Douillet (Ancien Champion Olympique de Judo)

Témoignage

  • Baptiste Viaud (Nantes)

Temps sportif, santé du champion et logique de l’urgence

  • Bertrand Thoribé (Mérignac)

Le regard du médecin du sport sur la douleur

  • Jean-Christophe Seznec (Paris)

Sport et souffrance- Président / Modérateur : Marc Bouvard (Pau)Marginalisés et assujettis à des normes strictes de dépassement de soi et de performance, les sportifs sont soumis à des règles de vie et à des entraînements intensifs éprouvants. Mais quels rapports entretiennent-ils avec la douleur et la souffrance ? Faut-il souffrir pour être performant ? Les témoignages qu’apportent David Douillet et Serge Simon sont unanimes: de par ses valeurs et son idéologie, le milieu sportif intègre et banalise les sensations de douleur et de blessure. A force d’efforts et d’entraînements, la douleur devient même un indicateur de progrès : avoir mal, souffrir fait partie du contrat. Résistants à la douleur, les sportifs de haut niveau en deviennent des surhommes surprotégés car ils ont le devoir d’user de leurs corps sans jamais l’user.Mais la banalisation de la souffrance rend difficile le repérage et la reconnaissance des pathologies psychologiques et physiques. Reconnues comme normales malgré le cadre légal, certaines blessures échappent à la prise en charge sanitaire alors que ce qui est urgence sanitaire chez le non-sportif l’est tout autant chez le sportif de haut niveau. Mais peut-on remettre en cause un système qui fonctionne ?

 

Intervention

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