Conférence
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Langues :
Anglais, Français
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Droit commun de la propriété intellectuelle
DOI : 10.60527/jnp9-mf18
Citer cette ressource :
INHA. (2019, 22 janvier). 22 janvier 2019 - La présence des artistes africains à Paris , in 1959-1985, au prisme de la Biennale de Paris. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/jnp9-mf18. (Consultée le 2 juin 2024)

22 janvier 2019 - La présence des artistes africains à Paris

Réalisation : 22 janvier 2019 - Mise en ligne : 11 mars 2019
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Descriptif

De la non-coïncidence à l’effacement : la présence des artistes africains à Paris. Séminaire « 1959-1985, au prisme de la Biennale de Paris »
22 janvier 2019.
Séance en anglais et en français

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Si l’on en croit une certaine historiographie, l’art contemporain africain aurait émergé sur le circuit mondial au lendemain de l’exposition Magiciens de la terre (1989), conçue, à l’origine, comme la quatorzième édition de la Biennale de Paris. Or, dès le début des années 1960, des artistes africains, en particulier sénégalais, exposent à la Biennale de Paris, et ce, à plusieurs reprises. Aucun d’entre eux ne sera retenu pour les Magiciens de la terre. Cette séance sera consacrée à l’étude de la participation des artistes africains aux deux événements dans une approche comparative avec les biennales de La Havane (1989) et de Dakar (1990).

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Intervenants :
Maureen Murphy (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Institut universitaire de France)
Lucy Steeds (école centrale Saint Martins, université des Arts de Londres)

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A propos du séminaire :

Ce séminaire ouvert à tous s’inscrit dans un programme de recherche sur la Biennale de Paris (1959-1985) initié par l’INHA qui vise à rendre numériquement accessibles ses fonds d’archive dispersés entre plusieurs sites, et à susciter une réflexion sur cette manifestation et ses significations aujourd’hui. L’objectif du séminaire est double. D’une part, mieux connaître l’histoire de la Biennale de Paris, les enjeux de sa création, la variété des arts qu’elle a accueillie, les nombreuses transformations qu’elle a subies au fil des années. De l’autre, réfléchir aux défis qu’une biennale en tant qu’objet d’étude historique pose à la recherche : devrait-on privilégier l’histoire des œuvres, des expositions, des institutions artistiques, des participations nationales, des échanges internationaux, des relations diplomatiques ? Peut-on tracer des problématiques diachroniques au-delà des particularités de chaque édition ? Faut-il restreindre l’analyse aux manifestations officielles ou inclure les activités en marge, si ce n’est en opposition à celles-ci ? Les séances de cette 2e année du séminaire se tiendront soit à l’INHA, soit, en présence de documents d’archives, à la Bibliothèque Kandinsky du Centre Georges-Pompidou ou aux Archives de la critique d’art à Rennes.
En partenariat avec la Bibliothèque Kandinsky (Centre Georges-Pompidou), les Archives de la critique d’art (Rennes) et l’Institut national de l’audiovisuel.

 
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