Entretien
Chapitres
Notice
Lieu de réalisation
Mosnay
Langue :
Français
Crédits
Alexandre PALEZIS (Réalisation), Université de Tours/CETU ETIcS (Production), Alexandre Palezis (Intervention)
Conditions d'utilisation
© CETU ETIcS - Université de Tours
DOI : 10.60527/0kpz-7682
Citer cette ressource :
Alexandre Palezis. UnivTours. (2019, 6 mai). Marinette Lardeau, ouvrière en confection au sein de l'atelier lingerie et Michelle Magnout, mécanicienne en confection, "Chez brigat" / JCB ConfectionENNE EN CONFECTION, "CHEZ BIGRAT" / JCB CONFECTION , in Industrie de l'habillement . [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/0kpz-7682. (Consultée le 3 juin 2024)

Marinette Lardeau, ouvrière en confection au sein de l'atelier lingerie et Michelle Magnout, mécanicienne en confection, "Chez brigat" / JCB ConfectionENNE EN CONFECTION, "CHEZ BIGRAT" / JCB CONFECTION

Réalisation : 6 mai 2019 - Mise en ligne : 10 mai 2019
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Descriptif

Au cours de cet entretien, Michelle Magnout et Marinette Lardeau échangent sur leur expérience de travail au sein de l’entreprise familiale Bigrat devenue en 1978 JCB Confection. Située à Argenton-sur-Creuse, l’entreprise qui s’est spécialisée dans le travail à façon et réalise notamment des chemises pour le compte de Figaret, occupe entre 40 et 80 ouvrières.

Michelle Magnout est recrutée en 1957 à l’âge de 14 ans.  Elle apprend le métier de mécanicienne en confection « sur le tas ». Elle est témoin de l’évolution de la mode qui impactait la nature des opérations de couture. Marinette Lardeau intègre quant à elle l’entreprise en 1985 après l’obtention d’un CAP couture alors que sa mère y occupe déjà un emploi. Elle y travaillera jusqu’en 2003, date de la fermeture de l’entreprise, comme ouvrière polyvalente au sein de l’atelier lingerie.

Les deux anciennes collègues se souviennent de l’organisation et de la transformation des ateliers au fil des années, des conditions de travail, du rôle des opérations de contrôle dans le cadre d’une production de qualité. Elles évoquent les patrons, Jean et Catherine Bigrat, très investis dans l’entreprise et qui faisaient régner la discipline. Elles se remémorent également les moments de convivialité. L’entretien se termine par le commentaire de photographies des ateliers.

Cet entretien a été réalisé par une équipe de chercheurs en sociologie de l'Université de Tours (CETU ETIcS) dans le cadre de la recherche VIVAMEMORI.

Enquête, réalisation et montage : Palezis Alexandre

 

La recherche VIVAMEMORI a bénéficié du financement de la Région Centre-Val de Loire complété par celui de la DRAC Centre-Val de Loire, de la Communauté de Communes d'Éguzon-Argenton-Vallée de la Creuse, de la ville de Vierzon, ainsi que du Syndicat mixte du Pays Loire Val d'Aubois.

La recherche VIVAMEMORI est menée par des chercheurs de l’Université d’Orléans(CRJP et CEDETE) et de l’Université de Tours(CETU ETIcS, CETU ILIAD3 et CITERES)

Avec le soutien du Service Patrimoine et Inventaire de la région Centre-Val de Loire, de Ciclic, l'agence du Centre-Val de Loire pour le livre, l'image et la culture numérique, et des Archives départementales du Cher et de l'Indre.

Découvrez le dossier sur les chemiseries à Argenton-sur-Creuse publié sur le site Mémoire de Ciclic.
 

Intervention

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