Entretien
Chapitres
Notice
Lieu de réalisation
Argenton-sur-Creuse
Langue :
Français
Crédits
Céline ASSEGOND (Réalisation), Alexandre PALEZIS (Réalisation), Université de Tours/CETU ETIcS (Production), Alexandre Palezis (Intervention), Céline Assegond (Intervention)
Conditions d'utilisation
© CETU ETIcS - Université de Tours
DOI : 10.60527/ty5q-8c13
Citer cette ressource :
Alexandre Palezis, Céline Assegond. UnivTours. (2018, 28 novembre). Chantal Dupont, ancienne ouvrière en confection "Chez Lordson" et Ghislaine Estève, ancienne mécanicienne en confection "Chez Bigrat" , in Industrie de l'habillement . [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/ty5q-8c13. (Consultée le 2 juin 2024)

Chantal Dupont, ancienne ouvrière en confection "Chez Lordson" et Ghislaine Estève, ancienne mécanicienne en confection "Chez Bigrat"

Réalisation : 28 novembre 2018 - Mise en ligne : 2 mai 2019
  • document 1 document 2 document 3
  • niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif

Chantal Dupont, ancienne ouvrière en confection "chez Lordson" puis « aux 100 000 chemises », et Ghislaine Estève, ancienne mécanicienne en confection "chez Bigrat" / JCB Confection.

A l’occasion de cet entretien réalisé au musée de la chemiserie et de l’élégance masculine d’Argenton-sur-Creuse, les deux amies (qui n’ont jamais été collègues) se remémorent leur carrière professionnelle et leurs expériences de travail.

Après l’obtention d’un CAP vendeuse et une expérience dans ce domaine, Chantal Dupont est embauchée parl’entreprise Lordson située à Saint-Marcel en 1978. Elle travaille à l’atelierde coupe réalisant différentes opérations avant de se spécialiser dans l’étiquetagedes paquets. Licenciée en 1996, elle intègre l’entreprise les 100 000 chemisesà Châteauroux. Guylaine Estève est recrutée en 1978 par l’entreprise Bazin(JCB confection) pour travailler à la machine. Auparavant elle était employéede bureau. Après une formation de 15 jours au sein de l’entreprise, elledevient mécanicienne en confection polyvalente. Elle est licenciée en 2003 quandl’usine ferme ses portes.

Les deux amiesexpliquent la façon dont elles ont été soumises à des tests d’agilité, derapidité et de logique avant d’être recrutées. Elles décrivent la configurationdes bâtiments au sein desquels elles travaillaient, se remémorent et comparentl’organisation du travail dans ces usines et racontent l’ambiance qui régnait dansles ateliers. Il est également question des cadences et de la rémunération, dela délocalisation.

L’entretien estl’occasion aussi d’évoquer les patrons de ces entreprises : M. et MmeBazin, M. et Mme Bigrat.

Enquête : Assegond Céline

Réalisation : AssegondCéline et Palezis Alexandre

Montage: Palezis Alexandre et Roussy-DucherNicolas

La recherche VIVAMEMORI abénéficié du financement de la Région Centre-Val deLoire complété par celui de laDRAC Centre-Val de Loire, de la Communauté de Communesd'Éguzon-Argenton-Vallée de la Creuse, de la ville de Vierzon, ainsi que du Syndicat mixtedu Pays Loire Val d'Aubois.

La recherche VIVAMEMORI estmenée par des chercheurs de l’Université d’Orléans(CRJP et CEDETE) et de l’Université de Tours(CETU ETIcS, CETU ILIAD3 et CITERES)

Avec le soutien du ServicePatrimoine et Inventaire de la régionCentre-Val de Loire, de Ciclic, l'agence duCentre-Val de Loire pour le livre, l'image et la culture numérique, et des Archivesdépartementales du Cher et de l'Indre.

Découvrez le dossier sur les chemiseries à Argenton-sur-Creuse publié sur le site Mémoire de Ciclic.

 

Intervention

Dans la même collection

Avec les mêmes intervenants et intervenantes

Sur le même thème