Rappers and "race" - Les rappeurs et la "race" 1
SOUYRI Émilie
Emilie Souyri met en dialogue historien·nes, sociologues et rapeur·euses dans cette première vidéo qui aborde la manière dont les artistes hip hop représentent la "race".
Mon compte
Pas encore inscrit ?
SOUYRI Émilie
Emilie Souyri met en dialogue historien·nes, sociologues et rapeur·euses dans cette première vidéo qui aborde la manière dont les artistes hip hop représentent la "race".
SOUYRI Émilie
Young MA est une rappeuse new yorkaise hardcore lesbienne. Est-elle sexiste ?
KABAL D' de
MKL
Animé par Karim Hammou, en présence de MKL (producer), D’de Kabal (rappeur, slameur, écrivain...).
REIMER Peter
Présidence : Hyacinthe Ravet Claire Lesacher : « Se dire “rappeuse” ou non : des positionnements discursifs qui engagent des enjeux de catégorisation de l’activité musicale et des enjeux de genre »
KABAL D' de
MKL
Animé par Karim Hammou, en présence de MKL (producer), D’de Kabal (rappeur, slameur, écrivain...).
ROQUEBERT Corentin
Présidence : Hyacinthe Ravet Claire Lesacher : « Se dire “rappeuse” ou non : des positionnements discursifs qui engagent des enjeux de catégorisation de l’activité musicale et des enjeux de genre »
FORMAN Murray
Les Hip Hop studies : passés en débats / futurs en projet
Présidence : Nasima Moujoud Marion Dalibert : « Des masculinités ethnoracialisées. Rappeurs et rappeuses dans le Monde, Libération et le Figaro (2000-2014) ». Keivan Djavadzadeh : « Gangstresses
BRINCKER Virginie
Présidence : Hyacinthe Ravet Claire Lesacher : « Se dire “rappeuse” ou non : des positionnements discursifs qui engagent des enjeux de catégorisation de l’activité musicale et des enjeux de genre »
Maryline Laplace, cheffe du Service de la coordination des politiques culturelles et de l'innovation au Ministère de la Culture et de la Communication ; Philippe Mourrat, directeur général de la
DALIBERT Marion
Présidence : Nasima Moujoud Marion Dalibert : « Des masculinités ethnoracialisées. Rappeurs et rappeuses dans le Monde, Libération et le Figaro (2000-2014) ». Keivan Djavadzadeh : « Gangstresses
Présidence : Hyacinthe Ravet Claire Lesacher : « Se dire “rappeuse” ou non : des positionnements discursifs qui engagent des enjeux de catégorisation de l’activité musicale et des enjeux de genre »