Dialogue avec Pedro Costa (2/3)
- document 1 document 2 document 3
- niveau 1 niveau 2 niveau 3
- audio 1 audio 2 audio 3
Descriptif
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel2ème partie : de Vanda à Ventura (En avant jeunesse)
"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes, mais sans faire de sacrifices. Que chaque mot est action, que le rêve que tu portes doit d'abord être dans les choses que tu choisis de filmer. (...) Straub, c'est cette attention permanente, la recherche de cette intensité phénoménale dans les films, cette énergie en tout, qu'on ne retrouve pas dans la vie." (Dans la chambre de Vanda - Conversation avec Pedro Costa, éditions Capricci, 2008)
Thèmes
Notice
Avec les mêmes intervenants
-
Dialogue avec Pedro Costa (3/3)CostaPedro
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel3ème partie : filmer la présence humaine"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes, mais sans
-
Dialogue avec Pedro Costa (1/3)CostaPedro
Dialogue à la Cinémathèque française avec Bernard Benoliel1ère partie : du Sang à Dans la chambre de Vanda"Une leçon apprise des Straub, c'est qu'on gagne beaucoup à s'imposer des limites réalistes,
Sur le même thème
-
Dialogue avec Jane Birkin et Jacques Doillon
Dans le cadre de la rétrospective que consacre la Cinémathèque française à Jane Birkin du 25 janvier au 11 février 2017, dialogue entre Jane Birkin et Jacques Doillon autour des trois films qu'ils
-
La Vie est belle : Conte cruel de Noël - Conférence de Jean-François Rauger
C'est peut-être le film le plus connu de Frank Capra. Véritable institution nationale, programme idéal de Noël pour les télévisions des foyers américains, La Vie est belle, qui semble cumuler diverses
-
Arri, une firme centenaire
Conférence animée par Michael Koppetz et Natasza Chroscicki, avec présentation d'appareils et projections.<br> En 1917, August Arnold et Robert Richter, ingénieurs, cinéastes, techniciens,
-
Josef von Sternberg : Retour à Anatahan. Conférence d'Emmanuel Burdeau
À sa sortie en 1953, Fièvre sur Anatahan est rejeté par le public et la critique du pays où il a été tourné, le Japon. Nombre de cinéphiles considèrent toutefois, comme le cinéaste lui-même, qu'il
-
Josef von Sternberg : Surfaces et sortilèges. Conférence de Jérôme Momcilovic
Le glamour, disait Sternberg, c'est « le traitement de la surface, une surface qui n'a même pas l'épaisseur de l'épiderme ». De L'Ange bleu à La Femme et le Pantin, le visage de Marlene Dietrich fut
-
Derrière le miroir, trucages, jeux d'optiques et effets d'étrangeté dans les films de Raoul Ruiz
Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz, car il aimait faire des jeux d'images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets
-
Freud, Sartre, Huston et les autres. Table ronde
À la fin des années 1950, John Huston, cinéaste passionné d'aventures et d'« exploration », a une idée doublement iconoclaste : consacrer un film de fiction au jeune Sigmund Freud, et en confier le
-
L'Œil des monstres : traversée de John Huston. Conférence de Pierre Berthomieu
Scénariste privilégiant les adaptations impossibles, aventurier excentrique, John Huston fut d'abord un « cinéaste classique ». Son indépendance farouche révéla ensuite un grand narrateur mais anti
-
Changements de têtes, de Méliès à David Lynch. Conférence de Diane Arnaud
Un comédien qui interprète plusieurs rôles attire irrésistiblement l'attention. Dans l'autre sens, les manipulations plastiques de son image, dédoublée ou transformée, peuvent démonter son jeu et
-
River Phoenix : un ange engourdi. Conférence de Jean-Marc Lalanne
Tapin narcoleptique entre assomption et évanouissement, River Phoenix incarne dans My Own Private Idaho la quintessence du nouage van-santien entre angélisme et autodestruction, jeunesse suave et
-
Dreamachine cinéma : l'art de Gus Van Sant. Conférence de Matthieu Orléan
Auteur solitaire, à part, hors des territoires bien marqués du cinéma américain, Gus Van Sant n'en est pas moins un artiste sous influence, complice d'une Beat Generation qu'il côtoya et dont il se
-
Gus Van Sant par Gus Vant Sant : une leçon de cinéma
Le 14 avril 2016, Gus Van Sant donnait une leçon de cinéma à la Cinémathèque française à l'occasion de l'exposition qui lui était consacrée.<br>« J'ai toujours été influencé par des films avec