Les amibes

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Pelomyxa palustris, tentative de division
L'ampleur de cet exemplaire de Pelomyxa atteind trois millimètres d'envergure. La lenteur de son déplacement s'accompagne de la formation de multiples pseudopodes arrondis. Ces directions multiples
thecamoeba verrucosa, une amibe au large pseudopode
Thecamoeba, amibe monopodiale, élabore un large pseudopode hyalin qui entoure toute la région antérieure de l'animal. Ce pseudopode affecte la forme d'une lame apaltie dépourvue d'organite, le
Saccamoeba, une petite amibe monopodiale ( video 2 )
Cette petite amibe de moins de 50 microns est dite monopodiale car elle ne produit qu'un seul pseudopode à la fois. le flux cytoplasmique interesse l'ensemble du cytoplasme et entraîne la
Saccamoeba, une petite amibe monopodiale ( video 1 )
cette petite amibe de moins de 50 microns est dite monopodiale car elle ne produit qu'un seul pseudopode à la fois. le flux cytoplasmique interesse l'ensemble du cytoplasme et entraîne la progression
Pelomyxa palustris, une amibe géante
Cette amibe polynucléée migre en s'étalant largement. Le gigantisme de cette espèce peut lui faire atteindre 3 millimètres d'envergure. C'est presque le cas de celle-ci qui dépasse le champs de l
Naegleria, une petite amibe bactériophage
Cette petite amibe d'environ 50 microns émet des pseudopodes arrondis précédés par une cape hyaline. une vacule pulsatile est bien visible etse contracte périodiquement. Les nombreuses bactéries de
Mayorella, une amibe vorace
Mayorella, particulièrement vorace et prolifique, vit dans les eaux stagnantes riches en protistes dont elle se nourrit. Volontier charognard et détritivore, cette amibe contribue à elliminer les
Difflugia pyriformis, cousin de D. globulosa
Plus allongée que l'espèce cousine Difflugi globulosa, Difflugia pyriformis (en forme de poire ), émet de longs pseudopodes par l'ouvertur de la thèque, le pseudostome. En pleine migration, les
Difflugia pyriformis, pseudopode et flux cytoplasmique
Chez Difflugia pyriformis, le pseudopode tractant se déploie grâce à un flux cytoplasmique centrifuge. Chaque pseudopode, une fois adhérant au substrat, sert de point d'appui à l'amibe pour avancer.
Difflugia globulosa, un thècamoebien
Parmi les amibes, certaines s'entourent d'un exosquelette secrêté et aglomérant des particules de quartz et des débris de diatomées constituant la thèque (thécamoebiens). Les pseudopodes sortent par
Centropyxis, un thécamoebien épineux
Proche du genre Difflugia, Centropyxis vit dans une thèque pseudo sphérique semblable à celle de Difflugia globosa mais hérissée d'ornements épineux. les pseudopodes digitiformes sortent du
Arcella, une amibe à "coquille"
Les thècamoebiens regroupent les amibes secrétant un squelette externe ou test appelé thèque, percé d'un orifice, le pseudostome, par lequel sortent les pseudopodes. Arcella présente une forme
Amoeba radiosa, une amibe nageuse
Certaines amibes détachées de leur substrat flottent et adoptent une forme radiaire. Le corps se contracte en une masse pseudo sphérique et les pseudopodes effilés rayonnent et impriment un mouvement
Amoeba proteus, la prolifération
Dans un milieu riche en microalgues vertes, Amoeba proteus prolifère. La densité de population augmente considérablement. C'est ainsi que de nombreux individus peuvent être observés ensembles dans
Amoeba proteus, les pseudopodes
L'amibe la plus connue et probablement la plus représentative du genre. De grande taille (jusqu'à 500 microns), commune dans les eaux stagnantes, d'une voracité extrême comme en témoignent les
Intervenants et intervenantes
Médecin (Paris 1972). Laboratoire Biologie et multimédia, UMR 7622 CNRS-UPMC en 2003