Notice
Mayorella, une amibe vorace
- document 1 document 2 document 3
- niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif
Mayorella, particulièrement vorace et prolifique, vit dans les eaux stagnantes riches en protistes dont elle se nourrit. Volontier charognard et détritivore, cette amibe contribue à elliminer les déchets animaliers. Cette amibe développe de multiples pseudopodes côniques prolongés par une cape yaline. Dans le cytoplasme, on peut observer de nombreuses vésicules digestives réfringentes, parfois de grande taille.
Intervention / Responsable scientifique
Thème
Dans la même collection
- 
Pelomyxa palustris, tentative de divisionDelarueMichelL'ampleur de cet exemplaire de Pelomyxa atteind trois millimètres d'envergure. La lenteur de son déplacement s'accompagne de la formation de multiples pseudopodes arrondis. Ces directions multiples 
- 
Naegleria, une petite amibe bactériophageDelarueMichelCette petite amibe d'environ 50 microns émet des pseudopodes arrondis précédés par une cape hyaline. une vacule pulsatile est bien visible etse contracte périodiquement. Les nombreuses bactéries de 
- 
Difflugia globulosa, un thècamoebienDelarueMichelParmi les amibes, certaines s'entourent d'un exosquelette secrêté et aglomérant des particules de quartz et des débris de diatomées constituant la thèque (thécamoebiens). Les pseudopodes sortent par 
- 
Saccamoeba, une petite amibe monopodiale ( video 1 )DelarueMichelcette petite amibe de moins de 50 microns est dite monopodiale car elle ne produit qu'un seul pseudopode à la fois. le flux cytoplasmique interesse l'ensemble du cytoplasme et entraîne la progression 
- 
Amoeba radiosa, une amibe nageuseDelarueMichelCertaines amibes détachées de leur substrat flottent et adoptent une forme radiaire. Le corps se contracte en une masse pseudo sphérique et les pseudopodes effilés rayonnent et impriment un mouvement 
- 
Difflugia pyriformis, cousin de D. globulosaDelarueMichelPlus allongée que l'espèce cousine Difflugi globulosa, Difflugia pyriformis (en forme de poire ), émet de longs pseudopodes par l'ouvertur de la thèque, le pseudostome. En pleine migration, les 
- 
thecamoeba verrucosa, une amibe au large pseudopodeDelarueMichelThecamoeba, amibe monopodiale, élabore un large pseudopode hyalin qui entoure toute la région antérieure de l'animal. Ce pseudopode affecte la forme d'une lame apaltie dépourvue d'organite, le 
- 
Centropyxis, un thécamoebien épineuxDelarueMichelProche du genre Difflugia, Centropyxis vit dans une thèque pseudo sphérique semblable à celle de Difflugia globosa mais hérissée d'ornements épineux. les pseudopodes digitiformes sortent du 
- 
Pelomyxa palustris, une amibe géanteDelarueMichelCette amibe polynucléée migre en s'étalant largement. Le gigantisme de cette espèce peut lui faire atteindre 3 millimètres d'envergure. C'est presque le cas de celle-ci qui dépasse le champs de l 
- 
Amoeba proteus, la proliférationDelarueMichelDans un milieu riche en microalgues vertes, Amoeba proteus prolifère. La densité de population augmente considérablement. C'est ainsi que de nombreux individus peuvent être observés ensembles dans 
- 
Difflugia pyriformis, pseudopode et flux cytoplasmiqueDelarueMichelChez Difflugia pyriformis, le pseudopode tractant se déploie grâce à un flux cytoplasmique centrifuge. Chaque pseudopode, une fois adhérant au substrat, sert de point d'appui à l'amibe pour avancer. 
- 
Saccamoeba, une petite amibe monopodiale ( video 2 )DelarueMichelCette petite amibe de moins de 50 microns est dite monopodiale car elle ne produit qu'un seul pseudopode à la fois. le flux cytoplasmique interesse l'ensemble du cytoplasme et entraîne la 
Avec les mêmes intervenants et intervenantes
- 
Tokophrya quadripartita, un acinetienDelarueMichelSur les mollusques et les crustacés d'eau douce, il n'est pas rare de trouver des colonies commensales de protozoaires péritriches fixés, en forme de panache comme ces Zoothamnium. En s'approchant au 
- 
Acanthocystis, un héliozoaire épineuxDelarueMichelParmi les héliozoaires, Acanthocystisest un cas à part dans la mesure où il développe des structures siliceuses à la périphérie du corps cellulaire. Il flotte librement dans les eaux stagnantes. Le 
- 
La corise chantante, Micronecta poweriDelarueMichelDans les mares aux eaux claires, on rencontre souvent de petits hémiptères aquatiques (punaises), de la famille des corixidae, les corises, proches des notonectes, mais qui nagent face ventrale vers 
- 
La limnée, développement embryonnaireDelarueMichelD'un naturel prolifique, la limnée se reproduit rapidement. Chaque ponte, de 30 à 40 oeufs,se développe en 15 à 20 jours selon la température ambiante. Hermaphrodites, les limnées s'accouplent soit 
- 
Haliplus fluviatilis, petit coléoptère aquatiqueDelarueMichelCe petit coléoptère de 2 millimètres environ, posséde une cuticule hydrofuge et ses 3 paires de pattes garnies de longues soies impliquées dans son maintien à la surface de l'eau et dans le rôle de 
- 
Macrobiotus le tardigrade, les globules cavitairesDelarueMichelA mesure que Macrobiotus se nourrit, il se charge de cellules libres dans la cavité générale? Ce sont les globules cavitaires, sortes de cellules de réserve riches en lipids. Ceux-ci se déplacent en 
- 
Epiphanes brachionus, la progénitureDelarueMichelCe rotifère possède une carapace ou lorica applatie dorsoventralement. et un pied bien développé. L'appareil rotateur ainsi que le mastax sont bien développés. Les oeufs pondus restent accrochés à la 
- 
Cypris, l'ostracodeDelarueMichelAvec les cladocères et les copépodes, les ostracodes peuplent les mares en grand nombre. Comme les cladocères, ils sont constitués d'un corps mou enveloppé dans une carapace bivalve. A l'intérieur de 
- 
Amphileptus pleurosigma, cilié cousin de LitonotusDelarueMichelRessemblant au genre Litonotus, Amphileptus est également un prédateur d'autres protozoaires. Deux noyaux apparaissent en contraste de phase. 
- 
Spirostomum, la souplesse d'un cilié géantDelarueMichelSpirostomum ambiguum, espèce particulièrement vigoureuse, peut croître jusqu'à plusieurs millimètres de longueur. Grâce à une souplesse remarquable, cette cellule géante est capable de se tordre etse 
- 
Spirogyre, les mouvements de cycloseDelarueMichelCaractérisée par ses chloroplastes hélicoïdaux, l'algue filamenteuse spirogyre croît dès la fin de l'hivers avec l'augmentation quotidienne de lumière. Entre les chloroplastes, de larges vacuoles 
- 
Notommata, un rotifère rampantDelarueMichelDe grande taille (250-300 microns), ce rotifère au corps mou, rampe sur les végétaux aquatiques des mares. La structure du rotifère se reconnaît grâce à l'appareil rotateur antérieur. Peu saillant, il 
 























