Notice
Tokophrya quadripartita, un acinetien
- document 1 document 2 document 3
- niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif
Sur les mollusques et les crustacés d'eau douce, il n'est pas rare de trouver des colonies commensales de protozoaires péritriches fixés, en forme de panache comme ces Zoothamnium. En s'approchant au plus près, on remarque que la colonie n'est pas homogène et abrite d'autres protozoaires fixés. Parsemés au sein de la colonie de Zoothamnium, les acinetiens profitent du flux nourricier pour prélever leur part. Le corps cellulaire, pyriforme, porte des faisceaux de tentacules préhensiles sur les angles latéro-supérieurs arrondis. Chez cette espèce, le style est au moins deux fois plus long que le corps cellulaire. Il pourrait s'agir de Tokophrya quadripartita.( Cette video est la propriété du service BioMedia de l'Université Pierre et Marie Curie : http://www.edu.upmc.fr/biomedia/ . Consultez nos sites de ressources en biologie : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/ & http://www.snv.jussieu.fr/vie/ )
Thème
Dans la même collection
-
Amphileptus pleurosigma, cilié cousin de Litonotus
DelarueMichelRessemblant au genre Litonotus, Amphileptus est également un prédateur d'autres protozoaires. Deux noyaux apparaissent en contraste de phase.
-
Spirostomum, la souplesse d'un cilié géant
DelarueMichelSpirostomum ambiguum, espèce particulièrement vigoureuse, peut croître jusqu'à plusieurs millimètres de longueur. Grâce à une souplesse remarquable, cette cellule géante est capable de se tordre etse
-
Spirostomum ambiguum, la multitude
DelarueMichelSur les fonds vaseux des mares stagnantes, de nombreux individus de Spirostomum ambiguum se multiplient et se rassemblent sur la couche détritique riche en bactéries dont ils font leur menu. La
-
Spirostomum ambiguum, la ciliature (2)
DelarueMichelLes cils vibratiles en liaison avec le cytosquelette, sont disposés selon des lignes parallèles à la surface du protozoaire. C'est ce qui permet au cilié de se déplacer dans le milieu aquatique. Un
-
Spirostomum minus, cousin de S. ambiguum
DelarueMichelPlus petit que spirostomum ambiguum, S. minus est caractéristique par sa morphologie trés allongée et sa frange adorale en forme de peigne. Cousin de S.ambiguum, S, minus occupe les mêmes milieux.
-
Halteria, petit cilié aux mouvements capricieux
DelarueMichelDe 20 à 40 microns, ce petit cilié progresse par bonds désordonnés au milieu du feutrage végétal. Comme ici, on le rencontre par groupes de 10 à plusieurs dizaines d'individus. Oligotriche, c'est à
-
Stentor, la ciliature
DelarueMichelLa grande taille de Stentor coeruleus favorise l'observation de ses bandelettes ciliées longitudinales depuis la région adorale sur tout le corps de l'animal.
-
Urocentrum turbo, le cilié "toupie"
DelarueMichelDe petite taille (moins de 50 microns), ce cilié en forme de toupie ne cesse de tourner sur lui-même à vive allure. La symétrie radiaire apparente de ce cilié se prolonge par une expansion "caudale"
-
Tetrahymena pyriformis, le système modèle des ciliés
DelarueMichelLargement utilisé comme système modèle des ciliés en physiologie et biochimie, Tetrahymena prolifère dans les eaux stagnantes, notamment en fin de saison dans les carapaces de crustacés. Fin octobre,
-
Oxytricha, cilié hypotriche
DelarueMichelComme Euplotes et Stylonychia, Oxytricha porte des rangées de cirres, sortes de cils aglomérés impliqués dans la locomotion. On distingue également le péristome et les mouvements des membranelles
-
Litonotus lamella
DelarueMichelLitonotus lamella, prédateur redoutable,chasse les petits ciliés grâce à des organites superficiels toxiques qu'il projette sur ses proies: les toxicystes. Ceux-ci sont localisés près du cytostome,
-
Chilodonella, petit cilié disymétrique
DelarueMichelEternellement entrain de tourner sur lui même, le petit cilié Chilodonella ( 50 à 70 microns ) affectionne les milieux riches en bactéries dont il se nourrit abondamment. Applati sur le substrat,
Avec les mêmes intervenants et intervenantes
-
Acanthocystis, un héliozoaire épineux
DelarueMichelParmi les héliozoaires, Acanthocystisest un cas à part dans la mesure où il développe des structures siliceuses à la périphérie du corps cellulaire. Il flotte librement dans les eaux stagnantes. Le
-
La corise chantante, Micronecta poweri
DelarueMichelDans les mares aux eaux claires, on rencontre souvent de petits hémiptères aquatiques (punaises), de la famille des corixidae, les corises, proches des notonectes, mais qui nagent face ventrale vers
-
La limnée, développement embryonnaire
DelarueMichelD'un naturel prolifique, la limnée se reproduit rapidement. Chaque ponte, de 30 à 40 oeufs,se développe en 15 à 20 jours selon la température ambiante. Hermaphrodites, les limnées s'accouplent soit
-
Haliplus fluviatilis, petit coléoptère aquatique
DelarueMichelCe petit coléoptère de 2 millimètres environ, posséde une cuticule hydrofuge et ses 3 paires de pattes garnies de longues soies impliquées dans son maintien à la surface de l'eau et dans le rôle de
-
Macrobiotus le tardigrade, les globules cavitaires
DelarueMichelA mesure que Macrobiotus se nourrit, il se charge de cellules libres dans la cavité générale? Ce sont les globules cavitaires, sortes de cellules de réserve riches en lipids. Ceux-ci se déplacent en
-
Spirostomum, la souplesse d'un cilié géant
DelarueMichelSpirostomum ambiguum, espèce particulièrement vigoureuse, peut croître jusqu'à plusieurs millimètres de longueur. Grâce à une souplesse remarquable, cette cellule géante est capable de se tordre etse
-
Spirogyre, les mouvements de cyclose
DelarueMichelCaractérisée par ses chloroplastes hélicoïdaux, l'algue filamenteuse spirogyre croît dès la fin de l'hivers avec l'augmentation quotidienne de lumière. Entre les chloroplastes, de larges vacuoles
-
Notommata, un rotifère rampant
DelarueMichelDe grande taille (250-300 microns), ce rotifère au corps mou, rampe sur les végétaux aquatiques des mares. La structure du rotifère se reconnaît grâce à l'appareil rotateur antérieur. Peu saillant, il
-
Epiphanes brachionus, la progéniture
DelarueMichelCe rotifère possède une carapace ou lorica applatie dorsoventralement. et un pied bien développé. L'appareil rotateur ainsi que le mastax sont bien développés. Les oeufs pondus restent accrochés à la
-
Cypris, l'ostracode
DelarueMichelAvec les cladocères et les copépodes, les ostracodes peuplent les mares en grand nombre. Comme les cladocères, ils sont constitués d'un corps mou enveloppé dans une carapace bivalve. A l'intérieur de
-
Amphileptus pleurosigma, cilié cousin de Litonotus
DelarueMichelRessemblant au genre Litonotus, Amphileptus est également un prédateur d'autres protozoaires. Deux noyaux apparaissent en contraste de phase.
-
Pelomyxa palustris, tentative de division
DelarueMichelL'ampleur de cet exemplaire de Pelomyxa atteind trois millimètres d'envergure. La lenteur de son déplacement s'accompagne de la formation de multiples pseudopodes arrondis. Ces directions multiples
Sur le même thème
-
Éducation à et conservation de la biodiversité : le rôle des parcs zoologiques
Saint JalmeMichelMichel Saint-Jalme, maître de conférences au Muséum national d'Histoire naturelle et directeur de la Ménagerie, le Zoo du Jardin des Pantes, explique dans cette vidéo (9'25) ce qu'est la
-
L'humain est-il un animal ?
LecointreGuillaumeGuillaume Lecointre, professeur au Muséum national d'Histoire naturelle, présente dans cette vidéo (8'37) la logique classificatoire qui prévaut en science. Il explique que cette logique, basée
-
La faune australienne
L' Australie et ses îles se caractérisent par une faune riche et très différente de nos contrées. L'imagination de chacun tourne ainsi à plein régime en entendant parler de « diable de Tasmanie » ou
-
Les rapaces nocturnes de France : de la diversité des espèces aux enjeux de leur conservation (3/4)
SordelloRomainLa France compte 4 espèces de Hiboux et 5 espèces de Chouettes. Ces oiseaux, regroupés au sein des rapaces nocturnes, reflètent néanmoins toute une palette de morphologies, de mœurs, d'exigences
-
Pourquoi protéger les oiseaux ? Le regard d'une historienne (1/4)
ChansigaudValérieCette conférence revient sur la protection des oiseaux en l'abordant sous un angle original : celui de l'histoire. On découvrira ainsi les motivations surprenantes des premiers protecteurs du
-
La migration des oiseaux (4/4)
SibletJean-PhilippeLa migration des oiseaux est un des phénomènes naturels les plus remarquables. Elle met en évidence des prouesses remarquables et des mécanismes biologiques complexes et encore mal connus pour
-
Paris, les oiseaux dans la ville (2/4)
MalherFrédéricContrairement au sentiment commun, le nombre d’espèces d’oiseaux capables de vivre en ville est assez conséquent et il y en a plus actuellement qu’avant ! A Paris il existe environ 60 espèces
-
Vie et mœurs d'un mammifère nocturne : la chauve-souris
JulienJean-FrançoisCette conférence sur la vie et les moeurs de la chauve-souris a eu lieu en 2013 dans le cadre des Rendez-vous du Muséum et avec l'Université permanente de Paris
-
Un rapace nocturne : la hulotte parisienne
SordelloRomainLa chouette hulotte est le rapace nocturne le plus répandu en France. Elle est présente jusque dans nos villes et elle niche depuis plusieurs décennies dans la capitale. Le Jardin des plantes, site
-
La genèse de la Grande Galerie de l'Evolution (1/5)
MonchicourtMarie-OdileChemetovPaulHuidobroBorjaWaysbordHélèneTessierLucCette conférence a eu lieu en 2014 à l'occasion des Journées du Patrimoine et des 20 ans de la Grande Galerie de l'Évolution. De la genèse du projet à aujourd’hui : tables-rondes, intermède
-
La dissection du Calmar
VizioliJacopoSautièrePierre-Éric« La dissection du calmar » fait partie d’une série de films de biologie qui ont pour sujet les plans d’organisation de modèles animaux représentatifs de grands groupes chez les invertébrés et les
-
Histoire de la zoothèque du Muséum
TranierMichelMichel Tranier, ancien directeur des collections du Muséum, évoque l'étendue des collections naturalistes du Muséum national.