Congrès de la philosophie féministe francophone
Descriptif
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Introduction au congrès de la philosophie féministe francophone
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
Pluralité des pratiques philosophiques
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
De l’épistémè à la cité : violences et in/justices
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
Relire et réinventer les traditions
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
Coalition des savoirs
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
Politiques de la nature et du vivant
Le congrès de la philosophie féministe francophone a pour but de mettre en évidence la richesse, la pluralité et la fécondité des travaux de philosophie prenant le genre pour objet ou s’inscrivant
Intervenants et intervenantes
Docteur en études de genre et en sciences politiques (2011) Habilitation à diriger des recherches en philosophie, soutenue en 2021 à l’Université Picardie Jules Vernes, Amiens
Chargée de cours et doctorante en philosophie à l'Université de Montréal
Doctorante en philosophie à l'Université Laval (2017)
Titulaire d'un mémoire de master recherche 2e année en Études sur le genre
Politiste. Chercheuse associée au CEVIPOF (en 2023)
Assistante d'enseignement et de recherche au Centre de Recherche Information, Droit et Société (CRIDS) où elle est responsable de l'unité Technologies et Sociétés.
Lucile Marion est diplômée du master de philosophie contemporaine, École des hautes études en sciences sociales (EHESS), École normale supérieure.
Sujet de thèse : Le "dilemme de la victime" et le problème du consentement des femmes à l’oppression patriarcale (2022-2023; Directeur de recherche : Jules Falquet)
Marie-Anne Perreault est étudiante au doctorat en philosophie à Pennsylvania State University et diplômée de la maîtrise en philosophie de l’Université de Montréal. Elle est assistante éditoriale pour la revue Simone de Beauvoir Studies depuis 2023. En puisant dans la philosophie européenne et continentale, la philosophie féministe et la phénoménologie, elle s’intéresse dans ses travaux aux enjeux de genre, de sexualité et d’expérience vécue corporelle.
Elena MASCARENHAS est doctorante au CERCRID (équipe "Sciences, innovation et démocratie à l'université Lumière Lyon 2) mène des recherches en philosophie et en droit au prisme du genre (philosophie du langage, philosophie du droit, philosophie politique et sociale, éthique, droits humains, droit de la filiation, droit du travail). Dans une démarche interdisciplinaire, ses derniers travaux portent sur : le rapport entre la diversité des identités de genre et le droit français, le pouvoir des mots en droit et l’évolution des termes et concepts juridiques genrés, les catégories genrées en droit du sport, l’inclusivité de la langue juridique française.
Projet de thèse : L'attention à soi et aux autres au prisme du genre dans l'oeuvre de Simone de Beauvoir. (direcrice : Estelle Ferrarese; au CURAPP-ESS). Ce travail de recherche porte sur l'attention intersubjective, en tant qu'expérience vécue informée par l'assignation du sujet au genre. À partir d'un travail sur l'oeuvre de Simone de Beauvoir, je souhaite montrer que cette expérience dépend, d'une part, d'une disposition à faire attention contrainte par les normes sociales, et qui peut faire l'objet d'un travail d'éducation ; et d'autre part, qu'elle peut être investie comme une ressource, sur les plans individuel et politique. Dans ces deux cas, l'objectif de ce travail de recherche est d'appréhender l'attention à soi et aux autres comme une pratique de subjectivation, à la fois tributaire de normes genrées aliénantes et potentiellement vectrice d'émancipation.