Cluster 5a : Épigraphie numérique : bilan des premières journées du Cluster 5a et perspectives

Présenté par Michèle Brunet, professeure de littérature et d’épigraphie grecques à l’université Louis Lumière Lyon 2 et membre d’Hisoma, Manon Durier, ingénieure de recherche, recrutée au CESCM dans le cadre de l’Equipex+, et Estelle Ingrand- Varenne chargée de recherche CNRS et spécialiste d’épigraphie médiévale latine et française.

Le cluster 5a rassemble les projets d’épigraphie numérique (ou épigraphie et TEI) de l’antiquité, du Moyen-Âge et de la période moderne ; une première en France pour cette discipline.

Le bilan des journées du cluster 5a revient sur les objectifs généraux qui sont de s’informer sur les programmes en cours, partager les expériences pour aller au-delà des projets individuels aux financement limités tout en repérant les conjonctions et les points communs, et constituer le cluster.

L’épigraphie est par nature interdisciplinaire, nécessitant une expertise archéologique et un regard d’historien de l’art. Y réside donc un intérêt avec tous les autres clusters, et une collaboration en particulier avec le cluster 5b en vue d’une harmonisation entre les systèmes d’encodage. Parmi les problématiques rencontrées communément avec les autres membres de la communauté Biblissima+ se retrouve l’enjeu de la fairisation des données : qu’est-il réellement utile de conserver, mettre en ligne, partager : pour qui, pourquoi, comment ?

Dans le souhait de s’orienter vers une épigraphie, le point de convergence premier est de parler de comment publier, et comment travailler à l’encodage puisque le point de rencontre entre les clusters 5a et 5b est la TEI.