Les rotifères
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Rotaria macroceros, le rotifère au long tentacule
Cousin du genre Philodina, ce rotifère se caractérise par des yeux pairs rouges sombres proches de l'appareil rotateur. Le tentacule impair est particulièrement développé. Celui-ci explore l
Epiphanes brachionus, la progéniture
Ce rotifère possède une carapace ou lorica applatie dorsoventralement. et un pied bien développé. L'appareil rotateur ainsi que le mastax sont bien développés. Les oeufs pondus restent accrochés à la
Notommata, un rotifère rampant
De grande taille (250-300 microns), ce rotifère au corps mou, rampe sur les végétaux aquatiques des mares. La structure du rotifère se reconnaît grâce à l'appareil rotateur antérieur. Peu saillant, il
Rotaria neptunia, rotifère téléscopique
L'embranchement des rotifères est plein de surprises morphologiques. Celui-ci, Rotaria neptunia, à la forme allongée, possède un abdomen téléscopique qu'il déploie sur environ deux fois la longueur du
Trichocerca sp. un rotifère au long orteil
Dissymétrique, ce rotifère l'est jusqu'à l'extrémité postérieure où il ne reste qu'un seul long orteil styliforme, d'une longueur équivalente à celle du corps. Le corps lui-même, arqué, affecte une
Platyias, un rotifère transparent
Platyias quadricornis, comme beaucoup de rotifères, possède un corps transparent, ce qui permet d'observer son anatomie. Notamment, la "lorica", sorte de carapace ( en référence à la cuirasse des
Euchlanis, gros plan sur l'anatomie d'un rotifère
Bien qu'on ne puisse tout voir, ce gros plan permet d'appréhender les grandes région d'un rotifère type. A l'avant (à gauche de l'image), l'appareil rotateur, relativement discret sur cette espèce se
Taphrocampa, un rotifère rampant
Curieux rotifère que taphrocampa habitué à ramper avec sa cuticule plissée en accordéon et son pied très court. L'appareil rotateur étant considérablement simplifié, il fouille le sédiment en rampant
Brachionus et sa progéniture, un rotifère abondant
Chez les rotifères, la famille des brachionidae représente une large part du peuple des mares et Brachionus le plus répandu. Ils possèdent fréquemment une lorica aplatie en forme de bouclier avec des
Ptygura, rotifère sessile
Ptygura sp. vit dans un tube grossièrement maçonné avec ses excréments agglomérés aux détritus environnants. La brutalité du prélèvement en a fait sortir quelques individus ainsi plus facilement
Conochilus, le rotifère colonial
Certains rotifères vivent à plusieurs dans une matrice "gélatineuse" et forment des colonies. Ici, les individus sont tous reliés par leur pied dans une gangue mucilagineuse d'environ 1 mm de diamètre
Collotheca, le rotifère aux longs cils
Collotheca vit dans un tube aux parois spumeuses, transparentes, souvent colmatées à des débris, et enfoui dans le feutrage végétal. De ce tube, il émerge en déployant un extraordinaire panache de
Philodina, la reproduction asexuée
Les rotifères comme Philodina ont la réputation d'être parthénogénétiques, ce qui veut dire que les individus sont tous femelles et pondent des oeufs femelles. Les ovocytes se forment dans le
Floscularia ringens, anatomie d'un rotifère tubicole
Le tube translucide de Floscularia permet d'en deviner l'anatomie. Seul le panache de l'appareil rotateur dépasse à l'extérieur du tube. Au fond du tube, l'animal est fixé par son pied. En haut du
Floscularia ringens, le rotifère en tube
Parmi les rotifères, certains vivent fixés par leur pied, dans un fourreau à l'intérieur duquel ils se protègent. Floscularia ringens élabore lui-même ce fourreau à partir de fins détritus puisés
Testudinella, le rotifère circulaire
Testudinella dont le corps est aplati et transparent permet de distinguer l'ensemble de ses organes et notamment sa carapace ou lorica quasi circulaire. Testudinella dont le corps aplati et
le rotifère parasite de Volvox
Certaines colonies de Volvox hébergent des commensaux ou des parasites. C'est le cas ici où un rotifère s'est introduit dans un Volvox et broute à loisir les cellules somatiques, provoquant des
Philodina, nourriture et trophi
L'activité rotatrice incessante des deux roues de Philodina est particulièrement nette sur cette vidéo grâce aux particules en suspension abondantes dans le milieu. Les particules (algues
Philodina, le rotifère type
C'est au printemps que l'eau des mares et des flaques temporaires se repeuplent en algues et anilmalcules qui s'en nourrissent. Parmi eux, on compte de minuscules organismes pluricellulaires de
Intervenants et intervenantes
Médecin (Paris 1972). Laboratoire Biologie et multimédia, UMR 7622 CNRS-UPMC en 2003