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Langue :
Français
Crédits
Jacques Gapaillard (Intervention)
Conditions d'utilisation
© Musée de l'Air et de l'Espace - Le Bourget 2013
DOI : 10.60527/vdd3-8e14
Citer cette ressource :
Jacques Gapaillard. MAE. (2013, 14 décembre). L’internationalisation de l’heure , in Saison 2013 - 2014 : Temps et navigation. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/vdd3-8e14. (Consultée le 12 octobre 2024)

L’internationalisation de l’heure

Réalisation : 14 décembre 2013 - Mise en ligne : 7 janvier 2014
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Descriptif

Dans la seconde moitié du XIXesiècle, avec le développement des échanges commerciaux et du télégrapheélectrique, est apparue la nécessité de disposer d’une heure de référencemondiale. La définition de cette « heure universelle » revenait auchoix d’un méridien particulier, lequel deviendrait également le méridieninternational de référence, ou « premier méridien », pour le repéragedes longitudes.

Réunie à Washington en octobre 1884, la Conférence internationale du premier méridien porte son choix surle méridien de Greenwich, au grand dam de la France qui n’accepte pas cettedécision et continue à se référer au méridien de Paris. Cependant, lorsque lastation de TSF de la Tour Eiffel se révèle capable de hautes performances,qu’il s’agisse de la réception ou de l’émission de signaux horaires, il devientévident que la France peut jouer un rôle international de tout premier plandans le domaine de l’heure. Mais il va de soi qu’il lui faut préalablementadopter l’heure de Greenwich, ce qui est fait en 1911, tandis que, l’annéesuivante, Paris devient le siège du Bureauinternational de l’Heure.

 

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