Conférence
Notice
Langue :
Français
Crédits
Claire SARAZIN (Réalisation), Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Production), SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Publication), Cécile Dolisane-Ebosse (Intervention)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail et aux auteurs.
DOI : 10.60527/rpkr-4868
Citer cette ressource :
Cécile Dolisane-Ebosse. UT2J. (2014, 15 octobre). Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse , in Les Amériques noires. Identités et représentations. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/rpkr-4868. (Consultée le 4 décembre 2024)

Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse

Réalisation : 15 octobre 2014 - Mise en ligne : 3 avril 2015
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Descriptif

Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations", organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 2
: Identités relationnelles.

Les mémoires oubliées de la création artistique des femmes de la Harlem Renaissance méritent d'être exhumées, vivifiées et édifiées comme appartenant au patrimoine culturel mondial. Carrefour cuturel du monde noir, ce mouvement a fait connaître Langston Hugues, Claude Mac Kay et Alain Lockes et bien d'autres encore. Mais le talent féminin des personnalités telles la sculpteuses Augusta Savage, qui vouait un culte à Léopold sedar Senghor, et Faith Ringgold, qui a dédié un buste à W.E.B Dubois, sont très peu connues dans l'aire francophone. Pourtant leurs productions artistiques étaient essentiellement consacrées à la cause et à la libération des peuples opprimés. Il s'agit, à n'en pas douter, dans une approche socio-historique et genre, de la responsabilité culturelle et politique de la femme créatrice dans l'avancement de l'humanité en arborant la vitalité de l'art nègre. Mais qui se souvient encore de celles qui ont contribué à cet humanisme de la différence ? Quelles sont les raisons de cette amnésie collective ?

Intervention
Thème
Documentation

KIRSCHKE, Amy Helene (2014). Women Artists of the Harlem Renaissance. Jackson (MS), University Press of Mississippi, 251 p.

CRENN, Julie (2011). Créer pour résister : Faith Ringgold, in "L'Art au féminin : approches contemporaines", Africultures, 85, 3/2011, 60-69. [lire un extrait : http://www.africultures.com/php/?nav=article&no=10384].

CHOUARD, Géraldine (2001). L'Amérique comme patchwork, Revue française d’études américaines, 89, 3/2001, 70-85.

RINGGOLD, Faith, New Museum of Contemporary Art (1998). Dancing at the Louvre: Faith Ringgold's French Collection and Other Story Quilts. University of California Press, 167 p.

RINGGOLD, Faith (1995). We Flew over the Bridge: The Memoirs of Faith Ringgold. Boston, Little Brown & Co, 148 p. [rééd. Duke University Press, 2005].

BIBBY, Deirdre L., (1988). Augusta Savage and the Art Schools of Harlem. Schomburg Center for Research in Black Culture, New York Public Library, 27 p.

NARDAL, Paulette Nardal (1930). Une femme sculpteur noire, La Dépêche Africaine, 27–28, août-septembre 1930.

> Voir aussi la bibliographie générale, à télécharger, dans l'onglet "Documents".


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