Droit à la vie privée

Au cours du projet Adoprivacy, les jeunes, accompagnés de leurs enseignants et d’intervenants extérieurs (journalistes, photographes, artiste-chercheurs…) ont été invités à réaliser eux-mêmes des

Pour échapper au rejet de questions juridiques trop abstraites, le projet Adoprivacy a proposé d’aborder par la fiction et la contextualisation les dilemmes éthiques de la protection de la vie privée

Plusieurs textes de loi et de réglement européen (DSA) ont cherché à renforcer la protection des mineurs sur les plateformes numériques, en précisant (notamment) une « majorité numérique » à 15 ans,

La recherche Adoprivacy a montré les grandes difficultés des enseignants pour aborder ces questions en raison de leur complexité et d’une certaine méfiance des adolescents. Elle a montré également un

Adoprivacy permet de confirmer que les adolescents sont dans leur majorité informés de la possibilité de signaler des contenus qui leur semblent déplacés sur les plateformes qu’ils utilisent. C’est

La connaissance des droits et des enjeux des données personnelles sur les plateformes est très inégalement appropriée par les adolescents. Le contexte social, l’âge, le genre, la formation sont

Les enjeux de la protection de la vie privée sur les plateformes numériques sont complexes, ils supposeraient des connaissances juridiques et des habiletés sociales qui sont inégalement partagées. Les

Adoprivacy a permis de montrer que les adolescent sont une conception souple et circonstancielle de la vie privée, et développent un arsenal de tactiques pour la protéger, même si inévitablement, du

Les Causeries sciences et société : Ville Intelligente #4 - Avantages et limites