Conférence
Notice
Langue :
Français
Crédits
Canal U/3S - CERIMES (Production), Fabienne Seguret (Intervention)
Conditions d'utilisation
Droit commun de la propriété intellectuelle
DOI : 10.60527/0paw-a566
Citer cette ressource :
Fabienne Seguret. Canal-U-Médecine. (2012, 12 mars). ADELF-EMOIS 2012 – Typologie de l’activité des établissements français à partir des données 2008 du programme de médicalisation des systèmes d’information. , in ADELF/EMOIS 2012. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/0paw-a566. (Consultée le 19 mars 2024)

ADELF-EMOIS 2012 – Typologie de l’activité des établissements français à partir des données 2008 du programme de médicalisation des systèmes d’information.

Réalisation : 12 mars 2012 - Mise en ligne : 26 avril 2012
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Descriptif

Titre : ADELF-EMOIS 2012 – Typologie de l’activité des établissements français à partir des données 2008 du programme de médicalisation des systèmes d’information.Auteurs : Fabienne SEGURET (CHU Montpellier)Christelle Ferreira (CHU MONTPELLIER)Résumé : IntroductionDans le contexte de la convergence des tarifs, et compte-tenu de l’insuffisance des classes disponibles pour traduire une réalité complexe, nous avons recherché une classification des établissements publics et privés, à partir des données d’activité.MéthodesSur la base 2008 des séjours hospitaliers français (BDHF-FHF, source ATIH), les variables actives ont été isolées par une classification ; la partition d’établissements s’est fondée sur une classification ascendante hiérarchique puis des centres mobiles sur les axes de l'ACP.RésultatsL’analyse des 1075 établissements et 51 variables actives montrait 3 premiers axes de lourdeur, taille et diversité, et référence/recours, et conduisait à une partition en 7 classes. Les établissements privés des classes 1 (n=432) et 2 (n=55), à forte activité de chirurgie, différaient par l’activité de maternité/pédiatrie. La classe 3 (n=98) était de très petits hôpitaux, avec de longs séjours gériatriques. Les petits CH de la classe 4 (n=218), assez diversifiés, avaient un taux élevé d’entrées en urgence. La classe 5 (n=153) regroupait les gros CH très diversifiés, avec beaucoup de pédiatrie/maternité, d’entrées en urgences et une activité de référence/recours élevée. En classe 6 (n=86), les cliniques privées et CLCC étaient peu diversifiés avec une part élevée de chirurgie, de recours. Les CHU et CH de la classe 7 (n=33) étaient les plus diversifiés, avec les taux les plus élevés de référence/recours et de technicité, moins de chirurgie que les cliniques privées, et de maternité/pédiatrie que les autres CH.MéthodesCette étude montre la disparité des établissements. Elle ne peut prendre en compte des particularités importantes (géographiques, conventions), mais est fondée sur des indicateurs diversifiés et semble relativement stable. Elle sera complétée par l’analyse sur 2009, sur pathologies ciblées, avec des indicateurs de patients.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du IIIème Congrès National conjoint ADELF/EMOIS à Dijon les 12 et 13 mars 2012. Session C-1 : Utilisation de l’information médicale pour la prévision et l’analyse de l’activité (Salle Morey Saint-Denis). Modérateurs : M ARENAZ, G NISAND Réalisation, production : Canal U/3S - CERIMESMots clés : ADELF, EMOIS, 2012, Dijon, épidémiologie, langue française, évaluation, management, organisation, information, santé, PMSI, typologie

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