Vidéo pédagogique
Notice
Langue :
Français
Crédits
Alexandre MOATTI (Réalisation), FMSH Production (Production), Gérard Salamon (Intervention)
Conditions d'utilisation
cc-by-nc-nd-sa 3.0, avec mention de l'intervenant et cultureGnum – Alexandre Moatti – FMSH /Attribution / pas d’utilisation commerciale / pas de modification / partage dans les mêmes conditions / Diffusion réservée à un usage pédagogique.
DOI : 10.60527/jmqk-en95
Citer cette ressource :
Gérard Salamon. cultureGnum. (2016, 30 septembre). La citoyenneté dans l'Antiquité gréco-latine. Qui est citoyen ? Qui ne l'est pas ?. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/jmqk-en95. (Consultée le 19 mars 2024)

La citoyenneté dans l'Antiquité gréco-latine. Qui est citoyen ? Qui ne l'est pas ?

Réalisation : 30 septembre 2016 - Mise en ligne : 30 septembre 2016
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Descriptif

 

 

Scène de banquet avec esclave servant (Paris, musée du Louvre, © Louvre.edu)

 

La citoyenneté dans l'Antiquité gréco-latine. Qui est citoyen ? Qui ne l'est pas ?

1. Les citoyens et leurs fils légitimes

2. Les femmes et les filles des citoyens

3. Les étrangers de passage ou résidents

4. Les non-libres : hilotes ou esclaves-marchandises

 

L'intervenant : Gérard Salamon est maître de conférence à l'ENS Lyon (laboratoire HISOMA Histoire et Sources des Mondes Antiques); il est aussi directeur des scolarités à l'IsMAPP Paris (Institut supérieur du management public et politique).

Intervention
Thème
Documentation


CITATIONS :

 

 

« Le devoir de l’étranger de passage et de l’étranger résident est de ne rien faire en dehors de son occupation, de ne se mêler en rien des affaires d’autrui et de ne montrer, quand il s’agit d’un État étranger, absolument aucune curiosité »

 

Cicéron, Les devoirs, 1, 125

 

« à Athènes, ce sanctuaire de toutes les libertés, il y avait quatre têtes esclaves contre une tête libre »

 

Constantin-François de Chassebœuf, dit Volney

1767-1820

 

 

« Romulus, le premier de nos rois, le créateur de notre ville, nous a enseigné par le traité avec les Sabins que nous devions accroître notre État en y accueillant même des ennemis. Forts de cette garantie et de ce précédent, nos ancêtres n’ont cessé d’accorder et de distribuer le droit de cité. Ainsi dans le Latium beaucoup d’habitants de Tusculum et de Lanuvium, et dans d’autres régions, des peuples entiers, tels que les Sabins, les Volsques, les Herniques ont reçu de nous le droit de cité »

 

 Cicéron, Pour Balbus, 31

 

« Quelle autre cause y a-t-il eu à la ruine des Lacédémoniens et des Athéniens, en dépit de leur valeur guerrière, que leur entêtement à écarter les vaincus comme étrangers ? »

 

Discours de l’empereur Claude chez Tacite, Annales, 11, 24, 7

 



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