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- Date de réalisation : 15 Mars 2012
- Durée du programme : 32 min
- Classification Dewey : Critique et histoire de la littérature de langue française (études stylistiques et thématiques...)
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- Catégorie : Conférences
- Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche
- Disciplines : Histoire Moderne et Contemporaine : France, Politique et gouvernement
- Collections : Foucault et la Renaissance
- ficheLom : Voir la fiche LOM
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- Auteur(s) : DESCENDRE Romain
- producteur : Université Toulouse II-Le Mirail
- Réalisateur(s) : JIMENEZ Jean
- Editeur : SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail
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- Langue : Français
- Mots-clés : Michel Foucault (1926-1984), raison d’État, pouvoirs publics, théorie de l’État, pouvoir politique, politique et gouvernement (16e-17e siècles)
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Foucault et les pensées politiques de la Renaissance : occultation du pouvoir souverain, valorisation de la raison d'État / Romain Descendre
Dans la même collection
























Foucault et les pensées politiques de la Renaissance : occultation du pouvoir souverain, valorisation de la raison d'État / Romain Descendre
Foucault et les pensées politiques de la Renaissance : occultation du pouvoir souverain, valorisation de la raison d'État / Romain Descendre. In colloque "Foucault et la Renaissance", organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Centre d’Etudes en Rhétorique, Philosophie et Histoire des Idées (CERPHI) de l'Institut d’histoire de la pensée classique (ENS Lyon). Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 13-16 mars 2012.
Thème 7 : Politique, 15 mars 2013.
Dans sa communication, Romain Descendre interroge de quelle façon Foucault a donné de la pensée politique du XVIe siècle une image à rebours des représentations canoniques de l’histoire de la philosophie. Une radicalisation de l’opposition entre souveraineté et domination, entre droit et discipline, conduit à une singulière mise entre parenthèses de Machiavel autant que de la pensée juridique et à une revalorisation des discours de la raison d’État. Bien qu’elle s’appuie sur des oppositions qui ont eu historiquement un rôle structurant pour la définition de positions théoriques effectivement antagonistes, une telle « généalogie » reste pourtant tributaire de schémas moins propres à la « Renaissance » qu’aux époques postérieures. De Bodin à Botero, la question clé de la population, comme objet privilégié du gouvernement, permet de penser l’articulation, bien plus que l’opposition, entre théories de la souveraineté et discours de la raison d’État.
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