-
- Date de réalisation : 13 Mars 2012
- Durée du programme : 35 min
- Classification Dewey : Critique et histoire de la littérature de langue française (études stylistiques et thématiques...)
-
- Catégorie : Conférences
- Niveau : niveau Master (LMD), niveau Doctorat (LMD), Recherche
- Disciplines : Littérature moderne et contemporaine, Littérature française et de langue française
- Collections : Foucault et la Renaissance
- ficheLom : Voir la fiche LOM
-
- Auteur(s) : DEMONET Marie-Luce
- producteur : Université Toulouse II-Le Mirail
- Réalisateur(s) : JIMENEZ Jean
- Editeur : SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail
-
- Langue : Français
- Mots-clés : signe (linguistique), Michel Foucault (1926-1984), épistémè
- Conditions d’utilisation / Copyright : Tous droits réservés à l'Université Toulouse II-Le Mirail et aux auteurs.
Dans la même collection
























Le sophisme des signatures, de Foucault à Agamben / Marie-Luce Demonet
Le sophisme des signatures, de Foucault à Agamben / Marie-Luce Demonet. In colloque "Foucault et la Renaissance", organisé par le laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire" (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Centre d’Etudes en Rhétorique, Philosophie et Histoire des Idées (CERPHI) de l'Institut d’histoire de la pensée classique (ENS Lyon). Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 13-16 mars 2012.
Thème 2 : Autour de l'épistémè (2), 13 mars 2013.
L’interprétation de la Renaissance à partir de la théorie des signatures élaborée par les paracelsiens conduit à s’interroger sur la méthode suivie par Foucault dans la position d’une épistémè définitive reposant sur le livre-monde, à la fois signe et texte (Les Mots et les Choses, chap. 2). Le recours à des lectures partielles d’ouvrages, qui sont loin de représenter tous les courants de pensée à la Renaissance, érige des exemples particuliers en propositions universelles, au risque d’un sophisme méthodologique. Celui-ci est aggravé et rendu encore plus manifeste par la relecture qu’en fait Giorgio Agamben dans De Signatura rerum (2008), où le paradigme de la signature excède la Renaissance pour recouvrir toute science des signes.
commentaires
Ajouter un commentaire Lire les commentaires