Entretien
Notice
Lieu de réalisation
École Nationale Supérieure de l'AudioVisuel (ENSAV), Toulouse
Langue :
Espagnol, castillan
Crédits
Nathalie Michaud (Réalisation), Université Toulouse - Jean Jaurès (Production), Le Vidéographe - Maison de l'image et du Numérique / UT2J (Publication), Albertina Carri (Intervention), Michèle Soriano (Intervention)
Citer cette ressource :
Albertina Carri, Michèle Soriano. UT2J. (2025, 26 mars). O inventamos o erramos: De la violencia sistémica a la fantasía. Ideas mutantes alrededor del cine y Latinoamérica. [Vidéo]. Canal-U. https://www.canal-u.tv/164470. (Consultée le 26 juin 2025)

O inventamos o erramos: De la violencia sistémica a la fantasía. Ideas mutantes alrededor del cine y Latinoamérica

Réalisation : 26 mars 2025 - Mise en ligne : 25 juin 2025
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Descriptif

Master Class Albertina Carri, à l'occasion de la 37e édition de Cinélatino, Rencontres de Toulouse, du 25 au 30 mars 2025.

S’il est une artiste radicale qui ne triche pas, c’est bien Albertina Carri. « Je suis une femme, latino-américaine, orpheline, mère lesbienne et fille de disparu·es, entre autres choses, je suis toutes ces identités. » (Revue Cinémas d’Amérique latine 21, 2013). Inspirés du cinéma pornographique pour certains ou de films policiers noirs pour d’autres, ses œuvres sont inclassables. Une chose est sûre, elles secouent, mais n’est-ce pas le principe de notre section Otra mirada que de montrer l’inhabituel ?

Albertina Carri, réalisatrice argentine née en 1973 à Buenos Aires, est une des figures du Nouveau Cinéma argentin (NCA) des années 2000.

« Elle s’inscrit en porte-à-faux avec les conventions narratives, esthétiques, commerciales et sociales de la société et de son époque. Albertina Carri est volontaire, tenace et hors normes, même au sein du NCA. […] Son cinéma explore de façon singulière et crue notre rapport à l’enfance, la violence, le corps, la sexualité, la mémoire, en d’autres termes notre identité. Ses films choquent, fascinent ou rebutent, mais ne laissent jamais indifférents. […] Pour Albertina Carri, chaque film est ainsi une construction. Entourée d’une équipe choisie, elle s’évertue à se tenir à l’écart des modèles narratifs traditionnels et à déchirer le voile de l’illusion, de l’oubli, des tabous. […] Immergée dans une quête personnelle mais contagieuse, Albertina Carri semble aboutir par le biais d’un processus créatif unique à une sortie de rage, une sortie de colère qui prend la forme de films inconfortables mais porteurs de désir, le désir de ne pas en démordre, le désir de déchiffrer l’insaisissable qui couve dans l’humain. »
Albertina Carri, cinéaste de l’inconfort, Laurence Mullaly, Revue Cinémas d’Amérique latine, 2012

Intervention
Thème
Documentation

Festival Cinélatino – 37es Rencontres de Toulouse (21-30 mars 2025) : https://www.cinelatino.fr/edition-2025/ 

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