Picasso-Miró : chassés-croisés
- document 1 document 2 document 3
- niveau 1 niveau 2 niveau 3
- audio 1 audio 2 audio 3
Descriptif
Picasso et Miró : deux artistes très différents, dans leur art et dans leur personnalité. Pourtant, ils se sont influencés l'un l'autre et une forte amitié liait le fougueux Picasso et le timide Miró.
Intervenant
Thème
Notice
Dans la même collection
-
Carnaval contre Carême : ordres et désordres du rire au Moyen Âge. Carte blanche du centre allemand…HuppertzLukasPutzNeleReissNinaSoriaJudithMurrayAndrewSchwarzMartin
Comment le rire au Moyen Age se fait-il force d’observation ou de transgression de la règle commune, qu’elle soit politique ou religieuse ? Entre Carnaval et Carême, les chercheurs du Centre allemand
-
Le "travail du rire" : la figure de Franco dans le cinéma post-franquisteBerthierNancy
À travers l’examen d’une série de films sortis en Espagne après la mort de Franco, cette conférence s’attache à analyser la manière dont le cinéma espagnol a très tôt ressenti la nécessité de porter
-
Rires et sourires gothiquesWirthJean
Dans la première moitié du XIIIe siècle, les anges, la Vierge Marie et les bienheureux se sont mis à sourire dans la sculpture gothique, mais ils ont cessé de le faire au siècle suivant. Le phénomène
-
VOD – Video On demand « Histoires d’en rire »BeigelArnaud
Un choix d’œuvres vidéos de la collection du MAC-VAL tisse une narration sans fil, une histoire de l’art du rire non linéaire portée par la voix du conférencier. Une galerie de portraits d’artistes et
-
Le rire de GoyaStoichitaVictor Ieronim
La communication se propose d’analyser l’iconographie du rire dans les Caprices de Goya (1799), avec une attention spéciale à la théorie humorale et à l’esprit carnavalesque.
-
Le rire féroce de Tomi UngererWillerThérèse
Le dessin satirique est une tradition bien ancrée dans les régions rhénanes. Tomi Ungerer, strasbourgeois d’origine, montre dans son œuvre un humour féroce et cynique. Ses premiers recueils satiriques
-
La Risata continua de Gino De DominicisTomassoniItalo
Le 24 avril 1970, Gino Di Dominicis inaugurait une exposition provocatrice à la galerie l’Attico à Rome, qu’il laissait complètement vide. Manipulateur de l’invisible, il habillait cette fois l
-
Le bal des Quat’Z’ArtsConteIsabelleBoudin-LestienneStéphane
De 1892 à 1966, les élèves des Beaux-Arts organisaient chaque année une fête, mêlant citations historiques, détournement et provocation. Ils n’hésitaient pas à s’identifier aux grands envahisseurs et
-
Rire de tout, mais pas avec n’importe qui ? Rire et dessin de presse aujourd’huiOryPascalPasamonikDidier
L’éditeur et commissaire d’exposition Didier Pasamonik s’entretiend avec Pascal Ory, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, de la pratique du dessin de presse
-
Art, histoire de l’art et médias : je t’aime moi non plusSchlesserThomasBenhamou-HuetJudith
La place de l’art et de l’histoire de l’art dans les médias, qu’on les qualifie de « traditionnels » ou « nouveaux », qu’ils relèvent de la presse écrite ou de l’audiovisuel, est un enjeu majeur pour
-
Autoportrait de l’artiste en bouffon : formes et fonctions de l’autodérision dans la peinture néerl…BlancJan
Cette conférence analyse la manière dont les peintres néerlandais, de Jheronymus Bosch à Aert de Gelder, n’ont pas seulement cherché à faire rire leurs spectateurs, mais aussi à les faire rire d’eux
-
Le Saint Sérapion de ZurbaránVincent-CassyCécile
Appelé le « peintre de la vie monastique », Francisco de Zurbarán (1598-1664) occupe une place à part dans le panorama artistique du Siècle d’Or espagnol. En 1628, il exécuta le tableau Saint Sérapion
Sur le même thème
-
Le rire de GoyaStoichitaVictor Ieronim
La communication se propose d’analyser l’iconographie du rire dans les Caprices de Goya (1799), avec une attention spéciale à la théorie humorale et à l’esprit carnavalesque.
-
Le Saint Sérapion de ZurbaránVincent-CassyCécile
Appelé le « peintre de la vie monastique », Francisco de Zurbarán (1598-1664) occupe une place à part dans le panorama artistique du Siècle d’Or espagnol. En 1628, il exécuta le tableau Saint Sérapion