Conférence
Notice
Langue :
Français
Crédits
Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM (Production), Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM (Publication), Claire SARAZIN (Réalisation), Agnès Cailliau (Intervention)
Conditions d'utilisation
Droit commun de la propriété intellectuelle
DOI : 10.60527/haxb-xm64
Citer cette ressource :
Agnès Cailliau. UT2J. (2010, 9 avril). Les actions de Docomomo France pour la sauvegarde du patrimoine Moderne en France / Agnès Cailliau , in Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : exemple de l'Université du Mirail. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/haxb-xm64. (Consultée le 7 octobre 2024)

Les actions de Docomomo France pour la sauvegarde du patrimoine Moderne en France / Agnès Cailliau

Réalisation : 9 avril 2010 - Mise en ligne : 28 mai 2010
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Descriptif

Les actions de Docomomo France pour la sauvegarde du patrimoine Moderne en France. Agnès CAILLIAU. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.

Agnès Cailliau soulève la question de la préservation et de la conservation du patrimoine architectural français de la 2ème moitié du xxe siècle, au travers du destin de deux réalisations architecturales représentatives du Mouvement Moderne construites dans la banlieue parisienne pour lesquelles un permis de démolition a été délivré. Il s'agit d'une part des ateliers de travail de la Cité artisanale à Sèvres (Hauts-de-Seine), oeuvre des architectes Georges Candilis, Shadrach Woods et Alexis Josić, aujourd'hui quasiment démolis à l'exception de l'atelier-logement de Josić lui-même. Le deuxième exemple est la Cité des Poètes, un ensemble de 440 logements sociaux construit dans les années 1980 à Pierrefitte-sur-Seine par les architectes Yves et Luc Euvremer et Jeronimo Padron-Lopez, La démolition, prévue en 2013, a été autorisée notamment par la MIQCP (Mission interministérielle pour la qualité des constructions publiques) en dépit de fortes oppositions (voir le site de Docomomo).

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