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- Date de réalisation : 11 Mars 2014
- Durée du programme : 86 min
- Classification Dewey : Histoire de la Première Guerre Mondiale
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- Catégorie : Entretiens
- Niveau : Tous publics / hors niveau
- Disciplines : Histoire Moderne et Contemporaine : France
- Collections : Le 8/9 des Hautes Études
- ficheLom : Voir la fiche LOM
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- Auteur(s) : AUDOIN-ROUZEAU Stéphane, STEG Jean-Michel
- producteur : Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
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- Langue : FRA
- Mots-clés : massacres (france), Première Guerre Mondiale, France, batailles
- Conditions d’utilisation / Copyright : © EHESS / 2014
Dans la même collection













Rencontre avec Jean-Michel Steg
Entretien avec Stéphane Audoin-Rouzeau autour de l'ouvrage Le jour le plus meurtrier de l'histoire de France. 22 août 1914 de Jean-Michel Steg
27 000 Français sont tués le 22 août 1914, le jour le plus sanglant de l’histoire de France. C’est quatre fois plus qu’à Waterloo, autant que durant les huit années de la guerre d’Algérie. Avant même la bataille de la Marne, Verdun ou le Chemin des Dames. Où donc ces hommes ont-ils disparu ? Dans quelles circonstances ? Un nombre de tués en une seule journée, sans précédent dans l’histoire de France et sans exemple depuis, ne peut être une simple bizarrerie statistique. C’est l’ambition de ce travail d’apporter quelques explications. Ce cataclysme meurtrier au tout début du conflit traduit-il les conséquences de choix individuels et collectifs, tactiques, stratégiques ou organisationnels erronés, ou tout simplement malheureux ? Comment les militaires en viendront-ils à accepter que, face à la létalité du feu au XXe siècle, le soldat ne peut plus mener la guerre dressé sur le champ de bataille, comme il le faisait depuis l’Antiquité, mais doit désormais combattre enterré et dissimulé ? Pour le savoir, il faut suivre Jean-Michel Steg dans les Ardennes belges le matin 22 août 1914.
Étudiant à l’EHESS, Jean-Michel Steg travaille depuis trente-cinq ans dans le monde de la finance.
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