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- Date de réalisation : 1 Mars 2020
- Durée du programme : 23 min
- Classification Dewey : Critique et histoire de la littérature italienne, Romans de langue italienne (1945-1999)
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- Catégorie : Vidéocours
- Niveau : L3
- Disciplines : Langue et Littérature italienne
- Collections : Italien
- ficheLom : Voir la fiche LOM
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- Auteur(s) : ORSINO Margherita
- producteur : Association Mascara Parola
- Réalisateur(s) : CARIA Guy
- Editeur : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
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- Langue : Italien
- Mots-clés : littérature italienne (20e-21e siècles), Carlo Levi (1902-1975)
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Carlo Levi : Cristo si è fermato a Eboli / Margherita Orsino
Carlo Levi : Cristo si è fermato a Eboli / Margherita Orsino. Cours
d’histoire littéraire italienne, in collection "Testi italiani del Novecento". Toulouse, Production Association Mascara Parola, mars 2020.
[* Photo de Carlo Levi extraite du site du Corriere della Sera].
Cristo si è fermato a Eboli (1945) è un libro che racconta un anno di esilio dell’intellettuale antifascista torinese Carlo Levi (1902-1975) in un villaggio della Basilicata (chiamata allora Lucania) dal 1935 al 1935. In questo romanzo autobiografico, l’autore racconta la scoperta di un microcosmo agro-pastorale fuori dal tempo. Lungi dal criticare quella cultura atavica, l’autore vi scopre un’autenticità di valori e una identità mediterranea che ha attraversato i secoli, con le sue credenze pagane. Gli abitanti di Gagliano sono senz’altro isolati dal mondo ma sono anche impermeabili alla dottrina fascista. Il brano studiato parla di quella cultura popolare magica in cui, come nella Grecia antica, la natura divina, umana e animale sono spesso legate.
Cristo si è fermato a Eboli (1945) est un livre témoignage de l’exil de l’intellectuel antifasciste turinois Carlo Levi (1902-1975), dans un village de la Basilicata (appelée autrefois Lucania) de 1935 à 1936. Dans ce roman autobiographique, l’auteur raconte la découverte d’un microcosme agro-pastoral hors du temps. Loin de dresser une critique de cette culture atavique, l’auteur y découvre une authenticité de valeurs et une identité méditerranéenne qui a traversé les siècles, avec ses croyances païennes. Si les habitants de Gagliano sont, certes, isolés du monde, ils sont tout aussi imperméables à la doctrine fasciste. L’extrait étudié parle de cette culture magique populaire où, comme en Grèce ancienne, la nature divine, humaine et animale sont souvent liées.
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