Conférence
Chapitres
Notice
Lieu de réalisation
Maison des Sciences de l'Homme, 54 bd Raspail, 75006 Paris, France
Langues :
Chinois, Français
Crédits
El Houssine BOUKILE (Réalisation), Camille BONNEMAZOU (Réalisation), Muriel CHEMOUNY (Réalisation), FMSH-ESCoM (Production)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés.
DOI : 10.60527/xyab-p064
Citer cette ressource :
FMSH. (2002, 2 juillet). Conclusion , in ALIBI I - « Le nom ». [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/xyab-p064. (Consultée le 2 juin 2024)

Conclusion

Réalisation : 2 juillet 2002 - Mise en ligne : 1 juillet 2002
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Descriptif

Les auteurs LEUNG Ping-Kwan et Jacques JOUET ont écrit une nouvelle en rapport avec le thème du "nom". Ils expliquent les raisons du choix de ce thème pour cet atelier. Puis chacun d’eux résume son texte, ce qui donne lieu à un dialogue entre eux sous forme d’échanges sur la création littéraire et sur les deux langues, le français et le chinois. Les traducteurs, LI Jinjia et Sandrine MARCHAND interviennent ensuite pour livrer leurs impressions, leurs réflexions autour de la traduction des nouvelles. Cet atelier permet la discussion autour de l’écriture et de la réécriture des textes.L'atelier Alibi (Atelier littéraire bipolaire) a pour objet la création littéraire la plus actuelle. Il associe plusieurs types d'acteurs appartenant aux aires d’expression du français et du chinois et à des domaines d'intervention différents : des écrivains, des traducteurs, des chercheurs et des universitaires. Le mot « bipolaire » suggère que l’on tourne et oscille autour de pôles, en l’occurrence deux langues, deux cultures, deux littératures - chinoise et française. Les écrivains, individuellement, ne sont pas représentants de leur culture d’origine ; ils l’habitent néanmoins, en même temps qu’ils portent des éléments d’autres cultures qu’ils rencontrent. « Bipolaire » renvoie également aux deux entités, écrivains et traducteurs, qui participent aux activités de ALIBI. Le mot « atelier » souligne que le processus d’écriture, de réflexion, de dialogue est en cours : les œuvres s’élaborent ; elles sont en création, voire en interaction, ainsi qu’en discussion. Enfin l’acronyme ALIBI véhicule, par son étymologie latine, le sens de « ailleurs ». Non seulement, ALIBI offre le prétexte à la rencontre et au débat littéraire, mais en outre, en tant qu’ « ailleurs », il se situe au cœur de l’exercice de l’écriture, de la traduction et même de la discussion, nous faisant évoluer d’un état de pensée vers un autre état, nous invitant à nous déplacer dans les œuvres, les langues et les cultures.

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