Entretien
Chapitres
Notice
Langue :
Roumain, moldave
Crédits
Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM (Publication), Université Toulouse II-Le Mirail (Production), Bruno BASTARD (Réalisation), Gabriela Gabor (Intervention), Laura Parvu (Intervention)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés à l'Université Toulouse-Le Mirail et aux auteurs.
DOI : 10.60527/b7qx-6j26
Citer cette ressource :
Gabriela Gabor, Laura Parvu. UT2J. (2005, 1 juin). Eléments pour la compréhension de l'art roumain médiéval , in Roumain. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/b7qx-6j26. (Consultée le 21 mai 2024)

Eléments pour la compréhension de l'art roumain médiéval

Réalisation : 1 juin 2005 - Mise en ligne : 1 juin 2006
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Descriptif

Ce film évoque une époque représentative pour la médiévalité roumaine : le 17e et 18e siècle en Valachie.Cette époque, appelée "époque de Constantin Brancoveanu" (style brancovan), est une époque riche en matière d'architecture laïque et religieuse mais également en littérature.

Générique Auteur : Gabriela GABOR Réalisation : Bruno BASTARD Traduction-trancription : Gabriela GABOR avec la participation de Laura PARVU.

Intervention
Thème
Documentation

"La compensation" est un principe baroque- c'est ce qu'on apprend, au moins, dans les livres qui essaient d'expliquer les mécanismes des grandes productions culturelles. D'ailleurs, il ne s'agit pas uniquement d'un principe baroque, mais c'est souvent dans le cadre de ce modèle qu'elle se déploie.
La plupart des données que les chercheurs ont isolées dans l'ensemble offert par les désirs de l'élite dans les Territoires Roumains (au XVIIe et au XVIIIe siècles) se distinguent par leur appartenance au modèle baroque, y compris au niveau des mentalités collectives, où la sensibilité baroque de la cour et de l'aristocratie s'associe à la traditionnelle mentalité médiévale paysanne.
C'est dans ce contexte qu'on parle des constructions magnifiques (résidences nobiliaires, édifices de culte) et des écrits historiografiques dans lesquels on retrouve les thèses fondamentales de la romanisation. A cet égard, il convient de souligner l'importance des images: celle "d'image du monde", "de temps possédé", "de monarque exemplaire"- toutes images qui expriment une atmosphère historique et qui font l'éloge d'un passé glorieux.
Par ailleurs, ce "contexte" peut connaître des contraintes, mais il convient surtout d'évoquer une certaine préparation pour que les gens acceptent ces acquisitions (pour que la magnificence, la splendeur et la grandeur soient représentées en vertu des prolongements byzantins du "Byzance après Byzance") dont Nicolae Iorga avait parlé; jouir de la vie représente, en effet, un principe baroque.
Il convient également de mentionner les nombreuses et très variées activités culturelles qui se sont développées à l'époque de Brâncoveanu, dans un esprit présidé par les découvertes européennes de ce monarque.
L'activité culturelle puisant dans des fonds importants fut élevée au rang des principes d'une "politia", qui a pu démontrer les capacités créatives des roumains dans le cadre de l'Europe de Sud-Est (et pas seulement).
Quant à la communauté des savants, Brâncoveanu a encouragé toutes les initiatives adjacentes à la démarche culturelle, pour que leurs oeuvres se développent dans un programme clairement défini, pour lequel leur création entraînerait de grandes conséquences.
Le 30 septembre 1694, "Manea, le meneur des francs-maçons" finissait de peindre le pronaos de l'église de Hurezi (édifice commandé par Brâncoveanu) et c'est à partir de ce moment-là qu'on peut admirer, le long des façades ouest,nord et sud du pronaos, une galerie de portraits qui ressemblent beaucoup aux portraits qui existaient déjà en Munténie a la fin du XVIe siècle.
"Pisania" (nom roumain attribué à une chronique de famille peinte) représentée dans le pronaos, nous rappelle que celui qui se trouvait depuis longtemps à la tête de son peuple, voulut mettre à l'honneur ses ancêtres (ceux de la lignée paternelle - "les Basarabi", aussi bien que ceux de la lignée maternelle - "les Cantacuzènes").
Toutes les figures peintes pendant trente ans ont un correspondent dans les chroniques de l'époque. Sur la façade ouest de l'église de Hurezi, on peut découvrir les silhouettes des Cantacuzènes: Constantin Cantacuzino, "Stolnicul" Constantin, Aga Matei, "Spatarul" Mihai (des personnages ayant des foncions nobiliaires à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle), Serban Cantacuzino et même des personnages féminins comme par exemple, madame Stanca (la mère de Brâncoveanu).
Sur la façade nord de l'église on découvre deux parents très chers à Elena Cantacuzino: Radu Serban, le fondateur du monastère de Camona, et Constantin Serban "Cârnul"("Le Camus"). Avec ces deux personnes s'achève la liste des Cantacuzènes.
Sur la façade à côté, on peut remarquer la chronique peinte de la célèbre famille des Basarabi. On découvre les figures de Puda-Vornicul, le grand-père paternel du monarque Constantin, mais aussi les portraits du père de Brâncoveanu (surnommé Papa-Brâncoveanu) et de Madame Stanca (la mère du monarque). Ainsi, un lien entre les deux illustres généalogies s'établit (il s'agit évidemment d'un lien symbolique).
Bien évidemment, la figure de Brancoveanu-même apparaît sur la façade: c'est son portrait d'enfant qui est représenté. A ses côtés se trouvent également son frère, Barbu, et leur arrière grand-père, David de Brâncoveni.
Sur le côté sud du pronaos de Hurezi est représenté la peinture de Nicolae Basarab, le fondateur du Monastère de la Cour d'Arges, ce qui témoigne de sa parenté directe avec le monarque Brâncoveanu.
Les modèles de ces portraits ont évidemment été pris à la Cour d'Arges, à Armota pour celui de Matei Basarab, mais ont aussi été des portraits des fondateurs des églises des XVIe et XVIIe siècles.
Si l'on commence à parler de l'art de Brâncoveanu, il y a, bien évidemment, beaucoup de choses à dire.
Premièrement, on peut parler du, soi-disant, style de Brâncoveanu, où on voit édifié pour la première fois le balcon en saillie qui symboliquement représente une union entre "l'au-delà" et le monde "d'ici-bas", entre l'espace terrestre et "l'autre" espace. On retrouve aussi le balcon en saillie dans une autre construction de type laïque - jusqu'à présent on a parlé, en effet, de Brâncoveanu comme fondateur des constructions à caractère religieux - cette construction est le palais de Mogochoaia. Ici, le balcon en saillie représente un élément su style brâncovénien et de l'architecture brâncovénienne.
Le palais de Mogochoaia a été bâti selon toutes les règles occidentales, comme par exemple, celles qu'on retrouve en France à l'époque de Louis XIV - Le Roi-Soleil. Ce palais garde de nos jours la splendeur que Brâncoveanu a rendue à son époque.
Bien sûr, les édifices érigés sous Brâncoveanu ne s'arrêtent pas là. On peut parler, dans ce contexte, d'autres constructions royales qui sont aussi inestimables que celles qu'on vient d'évoquer et qui gardent l'empreinte du style brâncovénien ou qui constituent une synthèse élaborée, surtout en Munténie, un mélange comme dans un creuset à plusieurs styles: le style de la Renaissance italienne (un style venant de Nuremburg et d'Augsburg en passant par Transylvanie et surnommé également la "Renaissance fleurie"), mais aussi d'autres styles importants appartenant à la civilisation orientale, ainsi que des apports autochtones (le style munténien qui existait déjà).
Ainsi, on peut remarquer que le style brâncovénien représente une synthèse de plusieurs styles dont les ouvrages gardent une valeur architecturale et culturelle même de nos jours.
On a dit que les constructions de Hurezi et de Mogochoaia représentaient l'apogée de l'art et de l'architecture que Brâncoveanu avait imposés dans l'espace religieux et dans l'espace laïque; à ce sujet, on peut encore donner d'autres exemples: le palais de Potlogi, l'Eglise d'"Un Seul Bout de Bois" (fondée par Matei Basarab grâce à l'importante contribution apportée par Brâncoveanu),mais aussi les maisons royales d'Obilesti et le domaine de la grande famille de Brâncoveanu, que son fils cadet, Matei, avait reçu en héritage.
Par ailleurs, on peut évoquer un autre aspect intéressant: à part le balcon en saillie, on voit pour la première fois apparaître des peintures sur les murs extérieurs des églises, comme par exemple pour l'église de Hurezi.
Voici donc, qu'à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle, l'art roumain évolue dans un sens extrêmement positif. Par exemple, on ne voit plus de figures propres à la peinture byzantine (des figures attristées, manquant de vie), on voit désormais une peinture aux figures beaucoup plus humanisées et plus optimistes, mais on ne renonce pas tout à fait à l'aspect ascétique de la représentation.
Un autre élément novateur qui marque l'architecture brâncivénienne est représenté par les jardins intérieurs, (propres à l'art italien et plus précisément à la Renaissance italienne), ces petites "meraviglie"-le nom que leur donne Anton Maria del Chiaro, le secrétaire florentin de Constantin Brâncoveanu.
En effet, de tels jardins intérieurs ont été créés antérieurement, bien avant l'époque de Brâncoveanu. On peut donner l'exemple du domaine de Petru Cercel, à Târgoviste.
Par ailleurs, en ce qui concerne l'époque brâncovénienne, la terrasse, le jardin ou le lac deviennent des éléments presque indispensables au confort. A cet égard, on parle d'une délimitation fortement marquée entre deux espaces: l'espace de la cour et l'espace privé; l'un concerne la vie publique et sociale du monarque, l'autre la vie de famille de Brâncoveanu, ainsi que d'autres aspects, comme par exemple les jardins intérieurs dont on vient de parler.
Pour conclure sur ce point, voilà donc quelques éléments de l'époque de Brâncoveanu : la terrasse, les peintures murales à l'extérieur des églises et les jardins intérieurs, représentent quelques repères qui mettent en valeur l'importance de l'art brâncovénien, à la fin du XVIIe siècle et au début du XVIIIe siècle.

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"Compensaţia este un principiu baroc". Cel putin aşa ne învaţă toate cărţile care încearcă să desluşească mecanismele producţiilor culturale de anvergură. Nu numai baroc, evident, dar practicat cu deosebire în cadrul acestui tip de sensibilitate.
Şi cum cele mai multe dintre datele izolate de cercetători în evantaiul oferit de apetiturile elitelor din Ţările Române din veacul al XVII-lea si din primele decenii ale veacului următor, au ca marcă apartenenţa la trăirea de tip baroc chiar la nivelul mentalităţilor colective, unde sensibilitatea barocă a Aulei voievodale şi a conacelor aristocraţilor face act de vecinătate cu traditionalul mentalului medieval ţărănesc.
Construcţii magnifice - rezidenţe nobiliare ori voievodale, edificii de cult - şi scrieri cu caracter istoriografic în care sunt vehiculate teze fundamentale ale romanitaţii ori îşi fac loc imagini de primă importanţă -precum "imaginea lumii", "timpul luat în posesie", "monarhul pilduitor", toate trimiţând spre o atmosferă istoristă, ce exaltă legăturile cu trecutul. În acest context, care poate suporta fireşte amendări, dar în cazul căruia trebuie să evidenţiem şi o anumită "pregătire" pentru receptarea acestor "achiziţii" (pentru ca fastul, strălucirea, pompa erau în funcţie pe acest spatiu în virtutea prelungirilor bizantine ale acelui "Bizant după Bizant" de care a vorbit Nicolae Iorga; doar trăirea este acum una de tip baroc) - se cuvin plasate, credem, şi numeroasele şi extrem de variatele exerciţii culturale pe care le-a adăpostit epoca brâncovenească într-un duh supravegheat de deschiderile cu adevărat europene al principelui Constantin Brâncoveanu.
Actul cultural, consumator de fonduri însemnate, a fost ridicat de voievod la rangul de principiu al unei politii în stare să afirme posibilităţile de creaţie ale românilor într-un spaţiu al Europei de sud-est (şi nu numai). Între învaţaţii pe care i-a adunat în jur (într-un veritabil Ateneu), Brâncoveanu a influenţat toate iniţiativele adiacente demersului cultural, aşezarea lor într-un program bine conturat, cu realizări şi mai ales cu nobile consecinţe (chiar şi pe palierul mentalităţii).
La 30 septembrie 1694 se isprăvea - sub conducerea lui "Manea, vătaful de zidari" - de pictat pronaosul bisericii de la Hurezi, ctitoria lui Constantin Brâncoveanu, şi din acel moment, lumea va putea vedea , de-a lungul pereţilor de apus, de miazăzi şi de miazănoapte ai pronaosului, o galerie de portrete , în stilul celor deja existente în Muntenia, la sfârşitul veacului al XVI-lea.
Pisania, pictată în pronaos ne aminteşte că acela care de o bună bucată de vreme cârmuia ţara a vrut să aducă un elogiu înaintaşilor (atât strămoşilor paterni-Basarabii, cât şi strămoşilor materni-Cantacuzinii).
Toate figurile pictate, aproape 30, au un corespondent în cronicile timpului. Apar la Hurezi, pe peretele dinspre vest, siluetele Cantacuzinilor; Contantin Cantacuzino, aga Matei, spătarul Mihai, Şerban Cantacuzino şi chiar personaje feminine între care doamna Stanca, mama lui vodă Brâncoveanu. Şirul cantacuzinesc este încheiat spre nord de două rude foarte apropiate ale Elinei Cantacuzino - Radu Şerban, ctitorul de la Comana şi Constantin Şerban "Carnul".
Pe zidul alăturat a fost pictat celălalt "neam", la fel de faimos, cel al Basarabilor. Îi găsim reprezentaţi pe Preda-vornicul - bunicul patern al lui Constantin-vodă, pe tatăl domnitorului - Papa Brâncoveanu, pe doamna Stanca (ca mamă a voievodului), făcându-se astfel legatura între cele două genealogii ilustre (o legătură simbolică, desigur). Însuşi Brâncoveanu este reprezentat, copil fiind, alături de fratele lui Barbu şi de strabunicul lor, David din Brâncoveni. Pe latura sudică a pronaosului de la Hurezi se afla pictat ctitorul Mănăstirii de la Curtea de Argeş, Neagoe Basarab, fapt ce demonstrează înrudirea directă cu Contantin Brâncoveanu.
"Modelele" pentru portrete, au fost luate, desigur de la Curtea de Argeş, de la Arnota (pentru Matei Basarab) şi mai ales după portretele ctitoriceşti din secolele al XVI-lea si al XVII-lea.
Sigur că, în ceea ce priveşte arta brâncovenească sunt foarte multe de spus. În primul rând, apare, în aşa-numitul stil brâncovenesc, reprezentat pentru prima oară -pridvorul. Şi acest pridvor este reprezentat ca un simbol între lumea de dincolo şi lumea de aici, între spaţiul terestru şi spaţiul "celalalt".
Pridvorul îl întâlnim foarte bine reprezentat şi într-o construcţie de tip laic-pentru că până acum ne-am referit la ctitoria brâncovenească în domeniul construcţiilor religioase- la palatul de la Mogoşoaia, prin urmare întâlnim pridvorul ca element al stilului brâncovenesc, al arhitecturii brâncovenesti. La Mogoşoaia, un palat ce a fost construit după toate regulile apusene, chiar după cele imprimate în Franţa de Regele Soare- Ludovic al XIV-lea, şi care păstrează până în prezent strălucirea pe care Brâncoveanu a impus-o epocii sale. Bineînteles, ctitoriile brâncoveneşti nu se opresc aici. Avem o serie de construcţii domneşti la fel de importante şi care păstrează amprenta acelui stil brâncovenesc - care, între paranteze fie spus - este o sinteză a mai multor stiluri, o sinteză elaborată, practic, în Muntenia, prin amestecarea ca într-un creuzet a mai multor stiluri: stilul Renaşterii italiene, un stil ce venea dinspre Nurenberg şi Augsburg prin Transilvania -asa -numita Renaştere înflorată şi a unor elemente ,deloc nesemnificative,care tin de spatiul oriental si ,desigur,a unor elemente autohtone - a stilului muntenesc preexistent deja.
Prin urmare , vedem că stilul brâncovenesc este o sinteză ce a dat naştere unor productii ce până astăzi îşi păstrează valoarea arhitectonică ,valoarea culturală.
Spuneam că Hurezii şi Mogoşoaia reprezintă o culme a artei şi arhitecturii brâncoveneşti, în spaţiul religios şi în spaţiul laic; avem, însă şi alte exemple: palatul de la Potlogi, biserica « Dintr-un Lemn » - ctitor fiind Matei Basarab, dar unde Brâncoveanu şi-a adus o importantă contribuţie şi casele domneşti de la Obileşti sau moşia Brâncovenilor, ce urma să-i revină lui Matei, cel mai mic dintre fiii lui Constantin Brâncoveanu.
Putem remarca un alt aspect interesant - în afară de pridvor - pictarea pentru prima dată pe pereţii exteriori ai bisericilor a meşterilor zugravi - de exemplu în cazul Hurezilor. Iată deci că arta românească evoluează în această perioadă, la finele veacului al XVII-lea şi începutul secolului al XVIII-lea într-un sens pozitiv.
De exemplu, nu mai întâlnim acele figuri descârnate, lipsite de viată, figurile specifice picturii bizantine; avem deja figuri aproape umane, ce emană un anumit optimism, nerenuntând însă la latura ascetică a reprezentării.
Un alt element novator în ceea ce priveşte arhitectura brâncovenească îl reprezintă grădinile interioare, specifice artei italiene, mai exact Renaşterii italiene, acele mici "meraviglia" - cum au fost numite de către Anton Maria del Chiaro - secretarul florentin al lui Constantin Brâncoveanu. Întâlnim asemenea grădini nu numai în epoca brâncovenească, ci şi într-o perioadă anterioară -de exemplu palatul lui Petru Cercel de la Târgovişte - unde găsim o asemenea grădină.
În ceea ce priveşte epoca brâncovenească, foişorul, grădina, lacul devin elemente aproape indispensabile confortului. Vorbim de o demarcaţie foarte clară deja a două spaţii: spaţiul aulic şi spaţiul privat. Spaţiul aulic - tot ceea ce ţine de viaţa publică (socială) a voievodului şi spaţiul privat - de care sunt legate şi acele "grădini interioare" - tot ce ţine de viaţa de familie a voievodului.
Rezumând, iată deci câteva elemente: foişorul, pictarea meşterilor zugravi în exteriorul bisericilor şi aceste grădini interioare - toate venind să înnobileze arta brâncovenească de la sfârşitul secolului al XVII-lea şi începutul secolului al XVIII-lea.

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