Conférence
Notice
Langue :
Portugais
Crédits
Claire SARAZIN (Réalisation), Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Production), SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail (Publication), Marcus Joaquim Maciel de Carvalho (Intervention)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail et aux auteurs.
DOI : 10.60527/bhyt-hj42
Citer cette ressource :
Marcus Joaquim Maciel de Carvalho. UT2J. (2016, 17 octobre). Malunguinho : un esclave marron vénéré dans le culte de la Jurema (Pernambouc, Brésil) / Marcus J. M. de Carvalho , in Mémoire et histoire de l'esclavage dans le monde atlantique. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/bhyt-hj42. (Consultée le 2 juin 2024)

Malunguinho : un esclave marron vénéré dans le culte de la Jurema (Pernambouc, Brésil) / Marcus J. M. de Carvalho

Réalisation : 17 octobre 2016 - Mise en ligne : 30 juin 2017
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Descriptif

Malunguinho : un esclave marron vénéré dans le culte de la Jurema (Pernambouc, Brésil) / Marcus Joaquim Maciel de Carvalho, in colloque "Mémoire et histoire de l'esclavage dans le monde atlantique", organisé dans le cadre du programme de recherche de l'accord franco-brésilien CAPES-COFECUB et du labex SMS Mémoires de l'Esclavage aux AMériques (MESCLAM), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 17-18 octobre 2016. Panel 2 : Héritages et recompositions.

Dans les années 1820, la présence de communautés marrons (quilombos) dans les forêts aux environs de Recife et Olinda préoccupe le gouvernement provincial. Ces marrons, redoutés par les propriétaires, bénéficiaient souvent du soutien des populations pauvres, elles-mêmes issues de l’esclavage et qui étaient établies dans les forêts du Nord. En 1827, leur chef Malunguinho fut identifié. En réalité, il existait d’autres dirigeants marrrons mais seul celui-ci en vint à les incarner tous. Aujourd’hui encore, de nombreuses communautés religieuses, à Recife et dans les environs, vénèrent Malunguinho comme une des divinités les plus puissantes du culte de la Jurema. A sa manière, ce culte nous parle aussi de la mémoire des esclaves.

Intervention
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Documentation

CARVALHO. Marcus J. M. de (2012). João Pataca et sa « tranquille » bande du quilombo de Catucá, in Jean Hébrard (dir.), Brésil quatre siècles d'esclavage. Nouvelles questions, nouvelles recherches. Paris, Éditions Karthala, 217-244.

MATTOS, Hebe (2012). Terras de quilombo : citoyenneté, mémoire de la captivité et identité noire dans le Brésil contemporain, in Jean Hébrard (dir.), Brésil quatre siècles d'esclavage. Nouvelles questions, nouvelles recherches. Paris, Éditions Karthala, 331-358.

CARVALHO. Marcus J. M. de (1988). Liberdade: rotinas e rupturas do escravismo no Recife, 1822-1850. Recife, Universitária UFPE, 353 p.

CARNEIRO, Edison (1981). Religiões negras e negros bantos. Rio de Janeiro, Editora Civilização, 239 p.

MELLO NETO, José Antônio Gonsalves de (1992). População negra e cultos africanos, Arrecifes. Diario de Pernambuco, 6, 7-14, jul/dez 1992.

FREYRE, Gilberto [1933] (2002). Casa-grande e senzala: formação da família brasileira sob o regime de economia patriarcal. Rio de Janeiro, Ed. Record. [En ligne -édition de 2003 : http://www.usp.br/cje/anexos/freire_gilberto_casa_grande_senzala.pdf].

> Voir aussi la bibliographie générale du colloque à télécharger dans l'onglet "Documents" de la communication inaugurale de Marcel Dorigny.

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