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Notice
Langue :
Français
Crédits
Fondation Maison des sciences de l’homme (Réalisation), Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad) (Production), Christophe Prochasson (Intervention), Cyril Lemieux (Intervention), Michel Wieviorka (Intervention), Isabelle Berrebi-Hoffmann (Intervention), Jacques Munier (Intervention)
Conditions d'utilisation
EHESS
DOI : 10.60527/baec-dk13
Citer cette ressource :
Christophe Prochasson, Cyril Lemieux, Michel Wieviorka, Isabelle Berrebi-Hoffmann, Jacques Munier. EHESS. (2013, 20 juin). Sciences sociales en débat autour de "Faire des sciences sociales" , in Cas de figure. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/baec-dk13. (Consultée le 12 mai 2024)

Sciences sociales en débat autour de "Faire des sciences sociales"

Réalisation : 20 juin 2013 - Mise en ligne : 22 juillet 2013
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Descriptif

Pendant trois jours, du 18 au 20 juin 2013, l'EHESS et la FMSH ont fêté dans leurs murs les publications en sciences sociales : lectures de textes par des comédiennes, débats d’idées, ateliers professionnels, et ventes d’ouvrages par le LCDPU dans l’atrium de 10 heures à 20 heures.

Débat de clôture « Sciences sociales en débat »

Jeudi 20 juin, 17h-19h, salle du Conseil

Avec Michel Wieviorka et Isabelle Berrebi-Hoffmann (revue Socio, Éditions de la FMSH) et Christophe Prochasson et Cyril Lemieux (Faire des sciences sociales. Critiquer Comparer Généraliser, Éditions de l’EHESS).

Christophe Prochasson parle de la situation actuelle des sciences sociales françaises : « Nulle déploration chez les participants à ce débat [Cyril Lemieux, Isabelle Berrebi-Hoffmann, Christophe Prochasson et Michel Wiewiorka]. L’idée est pourtant souvent répandue du déclin [des sciences humaines] face à une mondialisation scientifique où ces dernières ne cesseraient de perdre le rang prestigieux où quelques grands noms de jadis les avaient placées. Il ne fait cependant aucun doute qu’aujourd’hui de nouvelles coordonnées géo-politiques ont permis l’émergence de nouveaux acteurs dans la production du savoir. Pourquoi d’ailleurs s’en désoler ? Il est heureux même de voir les savants français devoir se confronter au monde, davantage encore qu’ils ne le faisaient par le passé. »

Intervention

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