Les raflés de Marseille de janvier 1943 internés au camp de Royallieu en vue de leur déportation : une opération mixte entre répression et persécution

Dès leur retour en France au printemps 1945, les travailleurs requis se réunissent en association pour défendre leurs intérêts et obtenir la reconnaissance d’un statut et d’un titre, celui de de «

Son intervention a consisté à rapporter sur la thèse de Lucie Hébert (absente) traitant de la déportation des droit commun par les Allemands depuis la France occupée.

Denis PESCHANSKI (Directeur de recherche CNRS émérite, Président du conseil scientifique et d’orientation de la Mission du 80ème anniversaire des débarquements, de la Libération de la France et de la

L’intervention revient sur l’irruption du genre en tant que catégorie heuristique dans l’analyse des déportations des femmes depuis la France, dans le cadre des mesures de répression.

Les convois de déportation partis de France entre mars et juin 1942 résultent des évolutions et des croisements des politiques de répression et de persécution de l’occupant allemand.

Longtemps considérée dans l’ombre de la zone occupée allemande, la zone d’occupation italienne est souvent négligée dans les mémoires de la répression pendant la Seconde Guerre mondiale.

Dans le prolongement des recherches menées sur les 9 000 déportés de France enregistrés au camp de concentration nazi de Mittelbau-Dora, un outil informatique innovant permet d’appréhender la

Cette communication fait le point sur le rôle joué par le Commandant militaire allemand en France (Militärbefehlshaber in Frankreich, MBF) dans le départ des premiers convois de déportés depuis la

Ouverture : Pascal Buléon. Armelle Gorand  (PU Unicaen-ICReJ) et Dzovinar Kevonian (PU Unicaen-HisTemé) dans le cadre du lancement de la Chaire d’excellence « mémoire et avenir de la paix ».