Conférence
Notice
Langue :
Français
Crédits
Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport (Réalisation), Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport (Production), CERIMES (Réalisation), CERIMES (Production), Nicolas Bruder (Intervention)
Conditions d'utilisation
Droit commun de la propriété intellectuelle
DOI : 10.60527/x4yg-3g56
Citer cette ressource :
Nicolas Bruder. Canal-U-Médecine. (2009, 27 novembre). ANARLF 2009 - Gestion de crise en neuroradiologie interventionnelle , in ANARLF 2009 Nancy. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/x4yg-3g56. (Consultée le 20 septembre 2024)

ANARLF 2009 - Gestion de crise en neuroradiologie interventionnelle

Réalisation : 27 novembre 2009 - Mise en ligne : 9 décembre 2009
  • document 1 document 2 document 3
  • niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif

31ème journée de l’association de Neuro Anesthésie Réanimation de Langue Française (ANARLF).Thérapeutique en neuro anesthésie-réanimation.ANARLF 2009 Nancy – Gestion de crise en neuroradiologie interventionnelle (NRI).

Résumé : La neuroradiologie interventionnelle est une spécialité hybride entre la radiologie interventionnelle et la neurochirurgie. Les impératifs techniques sont ceux de la radiologie interventionnelle avec certaines spécificités liées à la pathologie cérébrale. Mais les complications sont d’ordre neurologique ou neurochirurgical, nécessitant une bonne connaissance de la réanimation neurologique d’urgence. Le point commun de ces complications est l’urgence cérébrale, ce qui impose d’avoir des protocoles thérapeutiques clairs et précis, en collaboration avec les neuroradiologues et les neurochirurgiens, pour ne pas perdre de temps en face d’une agression cérébrale toujours grave.

Les complications sont de 3 types : les complications hémorragiques, les complications ischémiques, les complications liées aux produits de contraste. L’étude ATENA a évalué les complications du traitement endovasculaire des anévrismes non rompus dans une cohorte de 649 patients comprenant 1100 anévrismes dans 27 centres Français ou Canadiens. Des complications pendant la procédure survenaient chez 15,4 % des patients, avec 7,1 % de complications thromboemboliques, 2,6 % de ruptures anévrismales et 2,9 % de complications techniques. La mortalité à 1 mois était de 1,4 %. Il y avait 2,6 % de déficits neurologiques permanents et 1,9 % de déficits transitoires.

Auteur : Nicolas BRUDER - SAR, CHU Timone, Marseille

SCD Médecine.

Intervention

Dans la même collection

Sur le même thème