Conférence
Chapitres
Notice
Langues :
Français, Espagnol, castillan
Crédits
Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM (Publication), Université Toulouse II-Le Mirail (Production), Nathalie MICHAUD (Réalisation), Amanda Rueda (Intervention), William Vega (Intervention), Paola Garcia (Intervention)
Conditions d'utilisation
Tous droits réservés à l'université Toulouse II-Le Mirail et aux auteurs.
DOI : 10.60527/dr1q-h454
Citer cette ressource :
Amanda Rueda, William Vega, Paola Garcia. UT2J. (2013, 21 mars). Réalisme et violences latentes / Amanda Rueda, Paola Garcia, William Vega , in Cinéma, genre et politique. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/dr1q-h454. (Consultée le 15 mai 2024)

Réalisme et violences latentes / Amanda Rueda, Paola Garcia, William Vega

Réalisation : 21 mars 2013 - Mise en ligne : 18 avril 2013
  • document 1 document 2 document 3
  • niveau 1 niveau 2 niveau 3
Descriptif

Réalisme et violences latentes / Amanda Rueda, Paola Garcia. In l'Atelier de "Cinéma, genre et politique". Autour du film "La Sirga", en présence du réalisateur du film, Wiliam Vega. Atelier organisé par l'Institut de Recherche et d'Etudes Culturelles (IRIEC) de l'Université Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Festival Cinélatino 2013. 

L’Atelier « Cinéma, genre et politique », organisé par des équipes de l’Université Toulouse 2 en partenariat avec le festival « Rencontres Cinémas d’Amérique latine », se propose de rendre compte périodiquement d’une actualité devenue incontournable : la question sociale et politique des rapports de genre dans les sociétés latino-américaines abordée par la production cinématographique.  Il est conçu comme une manifestation scientifique qui engage les travaux de recherche dans un double dialogue : entre la communauté scientifique et les professionnels du milieu cinématographique d’abord, entre ces spécialistes et le public, spécialisé ou non, ensuite. En effet, l’ATELIER est construit sur l’alternance de moments d’exposition de problématiques scientifiques et de moments d’échange et de discussion autour de ces travaux avec les réalisatrices et réalisateurs invités. Aux travaux de l’Atelier, qui ont lieu le matin dans le cadre universitaire, correspondent des séances de projection des films abordés, incluses l’après- midi dans la programmation du festival. Il est essentiel que les questions traitées, qui concernent un public très large, soient associées à un dispositif qui favorise l’accès de nombreux participants, en particulier un public d’étudiants et enseignants spécialisés, français et étrangers, qui inscrivent de plus en plus fréquemment la problématique du genre dans leur formation et dans leur pratique. Enfin, il convient de mettre en avant la participation aux travaux de réalisateurs et réalisatrices latino-américain-e-s dont les œuvres ont été sélectionnées par le festival, car leur présence confère à cet Atelier une dimension internationale et un rayonnement exceptionnel. La double dimension de la manifestation correspond également à la vocation de l’art cinématographique : « Le cinéma décuple nos connaissances, il nous jette hors notre cadre, hors notre milieu, hors nos pensées familières, hors nos connaissances acquises, dans des mondes ignorés. Il se déplace, il saisit les formes, leur rythme... Il est un œil puissant qui s’ajoute au nôtre, beaucoup trop limité ». Ces propos de Germaine Dulac (1931) indiquent à quel point, dans ses multiples jeux avec le réel, le cinéma est un vecteur privilégié de questionnement.

Intervention

Dans la même collection

Avec les mêmes intervenants et intervenantes