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Langue :
Français
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Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia (Publication), Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia (Réalisation), Université de Bordeaux (Production)
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BY-NC
DOI : 10.60527/jzxe-qm73
Citer cette ressource :
Univ Bordeaux. (2020, 25 février). Comparaison des mesures climatiques in situ (station météo) et des données climatiques spatialisées pour la gestion du vignoble , in De la météo à l'agrométéo de précision. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/jzxe-qm73. (Consultée le 13 octobre 2024)

Comparaison des mesures climatiques in situ (station météo) et des données climatiques spatialisées pour la gestion du vignoble

Réalisation : 25 février 2020 - Mise en ligne : 15 mars 2020
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Descriptif

De la météo àl’agrométéo de précision : Une révolution en marche ?Module 1. La météo observée : mesures standards etreprésentativité spatialeJournées techniques - UMT Seven25 février 2020, Bordeaux Science Agro

Les modèles de développement des maladies et ravageurs descultures permettent l’optimisation des traitements mais nécessitent desinformations météorologiques. En Bourgogne-Franche-Comté, la viticulture faitl’objet d’un suivi climatique pour alimenter différents modèles dedéveloppement des maladies de la vigne, telles que l’oïdium (modèles SOV et deCaffi et al., 2011). Ce besoin de suivi est donc à l’origine de la constructionde réseaux d'observation in situ, notamment le réseau CLIMEO. En parallèle, ilexiste des données hybrides (issues de traitement d'image radar,d'interpolation spatiale et / ou de modèles climatiques régionaux), sous formede grilles, qui offrent une résolution spatiale équitablement répartie sur unelarge zone, sans pour autant induire de nouvelles installations de capteurs etdonc de maintenance. La question directrice du travail réalisé est : quel estl’impact de l’utilisation de ces grilles plutôt que de celle des mesures insitu ? Nous comparons ces deux jeux de données (CLIMEO et grilles Météo-France)en estimant les écarts, d’une part, sur les grandeurs physiques et, d’autrepart, sur les variables obtenues en sortie des modèles de développement desmaladies de la vigne.

 

>> Pauline Mialhe, Chercheure, Université de Bourgogne

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