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Notice
Langue :
Français
Crédits
Joanne Guéné-Mercher (Intervention), Krassimira Lacoustète (Intervention)
Conditions d'utilisation
Licence Creative Commons BY NC SA : l’utilisateur doit mentionner le nom de l’auteur, il peut exploiter l’œuvre sauf dans un contexte commercial, il peut créer une œuvre dérivée de l’œuvre originale si l’œuvre dérivée est diffusée sous la même licence que l’œuvre originale.
DOI : 10.60527/f3jn-r347
Citer cette ressource :
Joanne Guéné-Mercher, Krassimira Lacoustète. C2i. (2014, 19 mai). La veille en ligne, contexte et enjeux (Module 5.1) , in MOOC Le meilleur du web. [Vidéo]. Canal-U. https://doi.org/10.60527/f3jn-r347. (Consultée le 12 mai 2024)

La veille en ligne, contexte et enjeux (Module 5.1)

Réalisation : 19 mai 2014 - Mise en ligne : 25 septembre 2014
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Descriptif

MOOC “Le meilleur du web” : cours en ligne délivré du 19 mai 2014 au 13 juillet 2014 sur la plateforme FUN-MOOC.

Semaine 5 : La veille en ligneCours 1 : La veille en ligne, contexte et enjeux

Intervention
Thème
Documentation

La veille en ligne
Auteurs : Joanne Mercher et Krassimira Lacoustete
Université de Pau et des Pays de l’Adour
Licence CC BY NC SA
Collection de MOOC « Compétences numériques et C2i »
Référence D4-M5-S1 - printemps 2014
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Contexte et enjeux

« Une veille informationnelle c’est l’ensemble des stratégies mises en place pour rester informé, en y consacrant le moins de temps possible et en utilisant des processus de signalement automatisés. » (Lardy J.-P., Urfist de Lyon)
Nous vivons dans une société où l’information tient une place prépondérante. Il devient primordial de la comprendre et la maitriser. La veille est la pointe avancée de cette maîtrise si importante aujourd’hui.
Tu as tout à fait raison. De plus selon Bernard Stiegler nous sommes entrés dans l’ère de l’innovation permanente.
Regarde, un symptôme : en 2006 727 000 brevets ont été déposés dans le monde, alors qu’en 2010 on en était déjà à 908 000.
Cela génère des incertitudes par rapport à l’avenir. Il est nécessaire de deviner les tendances de l’avenir immédiat.
Effectivement. Si on ajoute le contexte numérique et l’inflation documentaire qu’il génère on voit tout de suite qu’il existe de nombreuses bonnes raisons de faire de la veille.
D’abord Anticiper et repérer les « signaux faibles ». La veille ce n’est pas suivre le Buzz
Ensuite Surveiller son environnement, détecter les menaces, les opportunités, les tendances.
Surveiller son image. C’est un enjeu pour les organisations, les collectivités, mais aussi les individus, et enfin Surveiller ses centres d’intérêts
Et oui, et n’oublie pas, qu’il n’y a pas de veille sans curiosité. Mais d’abord et avant tout il s’agit de gagner du temps
Une veille bien organisée se décompose en 4 étapes :
Le ciblage, qui consiste à préfigurer et organiser.
La collecte pour surveiller et capitaliser
Le traitement où l’on va analyser et éditorialiser et enfin la diffusion pour adapter et distribuer.
Nous allons voir en quoi la veille se différencie de la recherche documentaire. Dans la séquence suivante nous préparerons notre veille.
Ensuite nous verrons les outils permettant de faire venir l’information à soi : les alertes, les abonnements aux listes de diffusion et de discussion, les flux rss.
Nous ferons dans la quatrième séquence un focus les différents types d’outils à notre disposition pour gérer la collecte.
La cinquième séquence nous amènera à découvrir des solutions permettant de diffuser les résultats de notre veille
Enfin dans la dernière séquence nous verrons quels sont les particularités de la veille par et sur les réseaux sociaux.
Nous faisons déjà tous (ou presque) de la veille.
Comment en faire une pratique rationnelle et efficace ?

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