Introduction aux interventions de l'après-midi : la fabrique du terrain

Nicolas Baldovini, chercheur à l’Institut de Chimie de Nice, parle de ses travaux autour de la chimie des odeurs et de l’olfaction, et entre en discussion avec Suzel Balez, membre du laboratoire

Laurent Demanze, chercheur en littérature contemporaine, dresse le portrait de l’écrivain en enquêteur. Il ne s’agit plus de « représenter le réel, mais d’interroger les conditions de sa fabrique ».

Une virgule, c’est le temps dédié lors des séminaires à la présentation des chantiers de recherche du projet ANR Sensibilia. L’enseignante-chercheure à PACTE Claire Revol présente le chantier

Discussion : Face à une réalité opaque, qui dépasse l'idéal de la carte, de la monographie, du roman, qui la représenterait, que reste-t-il du « terrain » ? Le terrain comme le lieu, le sujet, de l

Le sol se cache à la vue de tous, support discret de nos abris, de nos cultures, de nos clôtures, de nos villages, de nos villes. L'atelier Petrichor questionne nos relations avec les sols.

Discussion qui prend lieu à la fin du premier séminaire du projet ANR Sensibilia : sensibiliser l'enquête de terrain.

François Laplantine revient sur les dimensions du terrain en anthropologie.

Une virgule, c’est le temps dédié lors des séminaires à la présentation des chantiers de recherche du projet ANR Sensibilia. Le chercheur CNRS à PACTE Olivier Labussière présente le chantier Strates.

Fin de l'atelier Petrichor, l'artiste Anaïs et l'anthropologue Germain Meulemans présentent leur travail.

Introduction au séminaire 1 et à l’atelier Petrichor, proposé par l'artiste Anaïs Tondeur et l'anthropologue Germain Meulemans.