Industrie de l'habillement

Ce film aborde la vie des salarié(e)s dans les entreprises de confection de chemises à Argenton-sur-Creuse et ses environs. Réalisé à partir d’extraits de témoignages et de documents d’archives, il

Dans les années 50, Monique Galland reprend et développe avec son mari l'entreprise familiale de confection fondée par sa mère. Le petit atelier situé à Lury ne tarde pas à déménager à Vierzon et

Simone Blondeau nous raconte avec humilité son expérience de contremaîtresse dans le secteur du prêt-à-porter féminin, au sein des Etablissements Robinet. Embauchée en 1955, à l'âge de 20 ans, elle

Dans cet entretien, Elisabeth Hellec et Nadine Isambourg reviennent sur leurs travaux d’études à travers la présentation de différentes pièces. Leurs échanges nous permettent d’appréhender l

Michel Rousseau revient sur ses débuts dans le domaine de la confection et raconte comment il a poursuivi en 1952 et développé jusqu’en 1989 l’activité commencée en 1932 par son père. Alors qu’au

Jean-Robert Guichard est né en 1930 à Argenton-sur-Creuse. Alors qu'il doit reprendre le magasin familial de tissus, le destin en décide autrement grâce au soutien de Jean-René Gravereaux,

Jean-Robert Guichard est né en 1930 à Argenton-sur-Creuse. Alors qu'il doit reprendre le magasin familial de tissus, le destin en décide autrement grâce au soutien de Jean-René Gravereaux,

Fils de Jean et Catherine Bigrat, dirigeants de J.C.B. Confection, entreprise de confection de chemises d’Argenton-sur-Creuse (36), Jean-Édouard rejoint l’équipe en 1998 en qualité de responsable

Après une formation à l’ENP, Jeanine Chalmin intègre l’entreprise de confection Robinet en 1961 où elle occupe un poste de commerciale jusqu’en 1999, quelques années avant la fermeture de l’usine.

Cet entretien réunit 6 anciennes ouvrières en confection de l’entreprise Robinet à Vierzon (3 mécaniciennes en confection, 1 repasseuse, 1 coupeuse), qui sont toutes entrées en apprentissage dans

Une quinzaine d’anciennes ouvrières reviennent dans les locaux de l’entreprise Robinet où elles ont travaillé une partie de leur carrière professionnelle, en présence de l’ancienne patronne et de l

Ce film a été réalisé dans le cadre de la recherche MEMOVIV menée par une équipe de chercheurs en sociologie de l'Université de Tours (CITERES/CETU ETIcS), avec le soutien des archives départementales

Cet entretien réunit 6 anciennes ouvrières en confection de l’entreprise Robinet à Vierzon (3 mécaniciennes en confection, 1 matelasseuse,1 traceuse).

Une quinzaine d’anciennes ouvrières reviennent dans les locaux de l’entreprise Robinet où elles ont travaillé une partie de leur carrière professionnelle, en présence de l’ancienne patronne et de l

Ghislaine Estève, ancienne mécanicienne en confection "chez Bigrat"/ JCB Confection. Suite à l'entretien de Ghislaine Estève et Chantal Dupont réalisé en novembre 2018 au musée de la chemiserie et

Au cours de cet entretien, Michelle Magnout et Marinette Lardeau échangent sur leur expérience de travail au sein de l’entreprise familiale Bigrat devenue en 1978 JCB Confection. Située à Argenton-sur

Chantal Dupont, ancienne ouvrière en confection "chez Lordson" puis « aux 100 000 chemises », et Ghislaine Estève, ancienne mécanicienne en confection "chez Bigrat" / JCB Confection.

A l’occasion de cet entretien réalisé au musée de la chemiserie et de l’élégance masculine d’Argenton-sur-Creuse, les deux anciens collègues et amis se remémorent leur carrière professionnelle

Dans cet entretien réalisé au Musée de la chemiserie et de l’élégance masculine d’Argenton-sur-Creuse, les deux anciens collègues nous relatent leur carrière« chez Bazin » (Royalfrance puis Lordson)

A l’occasion de cet entretien réalisé au musée de la chemiserie et de l’élégance masculine d’Argenton-sur-Creuse, Marie-Jeanne Thomas nous transmet sa passion pour la fabrication des chemises.

Après un apprentissage en alternance dans le secteur de la confection, Marie-France Neuilly intègre en 1969, à l'âge de 16 ans, l'entreprise vierzonnaise Robinet en qualité de repasseuse, un métier qu

Cet entretien est l'occasion pour Claudette Sirrey de revenir sur son parcours professionnel de traceuse-coupeuse en confection, d'abord aux établissements Robinet, puis chez Madame Ayoun et enfin à

Née en 1936, Marie-Thérèse Glomeron apprend son métier auprès d’une couturière installée dans le département de la Creuse. Elle travaille ensuite à domicile pour différentes entreprises, avant d

Christiane Beauvais entre en 1957 aux Tricotages du Verdin au service de la coupe puis du repassage. Elle devient ensuite responsable des modèles et travaille aux côtés de la styliste. Elle effectuait

Lors de cette rencontre, Jacqueline Svec, Françoise Simoes et leur amie Maria Da Silva se souviennent de leur quotidien de travail en tant qu'ouvrières en confection. Elles reviennent aussi sur l

Après un apprentissage de couture effectué auprès d'une couturière à domicile, Arlette Popineau intègre en 1946 une petite confection de lingerie indémaillable en qualité de surjeuteuse puis d

Née en 1931, Madeleine Mabillat se forme à la technique de la broderie à fils tirés auprès d’une voisine, ce qui lui permet de travailler à domicile dès le début des années 1950 pour le compte du

Nicole François et Micheline Sajot, mécaniciennes en confection, retracent leurs parcours professionnels respectifs avant d'évoquer leurs années en tant que collègues au sein des établissements Rodier

Dans cet entretien, Danièle Pique nous raconte son parcours professionnel, en particulier ses huit années au sein des établissements de confection Robinet à Vierzon. D'abord employée de bureau, elle a

Dans un premier entretien, Françoise Dallois raconte son enfance et sa jeunesse dans la cité Rosières, à Lunery dans le Cher, cité organisée autour de l'usine de cuisinières et poêles en fonte. Elle

Dans cet entretien, Georgette Le Vern se souvient des conditions de travail dans l'atelier de confection dans lequel elle travaillait au début de sa carrière. Elle rassemble également ses souvenirs

Embauchée en 1966 au sein des Etablissements Robinet, Monique Bonnin prend en charge la confection des boutons pendant vingt-cinq ans. Elle partage dans ce témoignage sa passion pour son travail et

Une responsable de la coupe, une responsable des ateliers de fabrication ainsi qu'une commerciale se réunissent chez leur ancienne patronne, Monique Galland, pour évoquer le travail chez Robinet

Jocelyne et Jean-Pierre Pigeotte, mari et femme, se plongent dans leurs souvenirs pour se remémorer leurs expériences de travail chez « Julietta » (SICDC, Société Industrielle de Confection du Cher),

Trois anciens collègues se remémorent les années passées au sein de l’entreprise « Julietta » (SICDC, Société Industrielle de Confection du Cher) spécialisée dans la confection de prêt-à-porter

Dans cet entretien, Jacques Blondeau se penche sur l'histoire du secteur des industries du textile et de l'habillement à Vierzon, de son essor à son déclin. Il explique comment s'y est formée l

Elisabeth Hellec se remémore sa carrière en tant que mécanicienne en confection à Vierzon, commencée en 1970 après l’obtention d’un CAP. Entrée à l’âge de 17 ans et demi chez Jaky Couture, elle

Jacqueline Bedu et Micheline Dartier nous livrent leurs expériences professionnelles dans le secteur de la confection de vêtements pour enfants à Vierzon. Après avoir travaillé à domicile comme

Marie-Claude Soueix de Pondeau est engagée en 1967 chez Robinet Confections à l'âge de 19 ans après l'obtention de son brevet technique "patronière-modéliste-gradeuse". Elle est l'une des rares

Nicole Moreau raconte comment elle est entrée le jour de ses 14 ans comme apprentie coupeuse aux Tricotages du Verdin, une entreprise située à proximité des baraquements en bois qu’elle habitait. Elle

Gaëtan Douez relate sa carrière aux Tricotages du Verdin situés à Vierzon connus sous la marque commerciale « Tricots Gégé ». Entré en janvier 1956 comme « directeur technique », il travaille dans cet

Originaire de Bourges, Guy Lordet exerce comme commercial puis co-directeur pendant une dizaine d'années dans les Etablissements Rodier. En 1971, il quitte cette société pour fonder son propre atelier

Thermocolleuse, surgeteuse, teinturière, mécanicienne en confection, coupeuse, matelasseuse… les paroles des ancien(nes) salarié(e)s de l’entreprise témoignent des différents savoir-faire mobilisés